« Paris, j’y crois ! »

A sa sortie du décrassage dominical, Vikash Dhorasoo revient sur la victoire du PSG à Sochaux. Un premier succès à l’extérieur qui conforte le bon départ du PSG en championnat et qui satisfait, évidemment, le technicien tricolore. Ambitieux, Vikash ne cache pas son désir de voir le club de la capitale s’installer en haut de l’affiche.

Au camp des Loges

PSG.fr -. Vikash, avec cette deuxième victoire, le PSG confirme sa belle entrée en matière…
Vikash Dhorasoo : « Bien sûr, nous effectuons un bon départ. C’est toujours bien de démarrer comme cela. Nous prenons des points et la confiance qui va avec. Je ne suis pas surpris par les performances du PSG. Si je suis venu à Paris, c’est parce que j’y crois ! »

PSG.fr -. Qu’avez-vous pensé de votre prestation face à Sochaux ?
Vikash Dhorasoo : « J’en suis plutôt content. Si je ne suis pas bon, je l’accepte. Mais le temps où je regardais ma note après le match est révolu. Je me suis senti plus fort sur mes jambes que la semaine dernière. Généralement je débute bien les saisons, là ce n’est pas le cas, mais je ne m’inquiète pas. J’ai simplement besoin d’un peu de temps pour m’adapter totalement à mon nouveau club et au championnat que j’avais quitté l’en dernier. »

« Que nos adversaires aient peur de nous ! »

PSG.fr -. D’ailleurs, trouvez-vous le championnat changé depuis votre départ de Lyon ?
Vikash Dhorasoo : « Non, la Ligue 1 n’a pas changé. Les matches restent difficiles. La preuve, les équipes qualifiées en Coupe d’Europe sont à la peine. En Italie, les gros gagnent. C’est ce que j’ai appris à Milan : on peut se permettre de perdre une fois… Pas deux ! J’espère que cela se passera comme ça avec Paris. »

PSG.fr -. Cissé qui inscrit deux buts en deux matches, cela prouve que le danger peut venir de partout…
Vikash Dhorasoo : « Déjà, c’est bien pour lui. Il doit être un peu euphorique en ce moment. Mais c’est surtout important de savoir que tout le monde peut marquer. On attend beaucoup de Pauleta et Kalou, mais le danger doit effectivement venir de partout. Il faut que nos adversaires aient peur de nous. »