Extra-Sportif / Faits Divers

Moi j' aime pas a 3heures

Les Nicois, PSG ou pas PSG ne font plus de déplacements, de plus comme l'a dit Bap' le principal groupe est en sommeil donc bon...

L'excuse de la sécurité est plus pour cacher le fait que ses supporters ne se deplacent plus qu'autre chose à mon avis.

Sinon les matches a 15h le Dimanche comme en Italie moi ca me convient plutôt bien ca me permet de rentrer pas trop tard chez moi

moi sa convient pas du tous

Et bah moi si

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Football365

Troyes-PSG avancé

et sa continue pfff nimporte quoi

Comment j'vais faire pour suivre les matchs moi le samedi apres midi jsuis pas chez moi !

Pour faire plus simple ils ont cas faire avancé tous les matchs du psg à 15h, comme ca on sera fixé definitivement

C'est ce qu'ils font.

Et je ne vois pas en quoi ca dérange les matches l'aprem'

Pour les mecs qui se deplacent c'esy une bonne chose de rentrer avant la nuit

ouai mais le samedi aprem tous les gars qui son en club il seront couiler pour voir ou pour aller au matchs

c'est cooool si c'est a 15h: sa fait 18h chez moi

ouai mais c'est pas cool pour moi rrr

NeiBaF a écrit:

C'est ce qu'ils font.

Et je ne vois pas en quoi ca dérange les matches l'aprem'

Pour les mecs qui se deplacent c'esy une bonne chose de rentrer avant la nuit

Ca me saoul pas que les matchs soit décalé à 15h le dimanche,bien au contraire!
Quoi qu'il advienne ces horaires ne sont que temporaire,pour les tv y'a trop de frik en jeu!
On reviendra aux heures initial.. tu verras!

ba ya intérré car la yen a vraiment mar quoi

Lol..Ouverture des portes à 13h30 dimanche

Ouais on y sera a 13h30

Ouais normal 13h30 fidels au poste

Et pour répondre à Léon je me doute bien que les horraires ne vont pas rester comme ca.

Même si Canal ne diffuse plus trop nos matches, à l'exeption de Marseille et Lyon quoi... Je pense que des 2007 ca va revenir à la norme

La renaissance sur le terrain du PSG, victorieux (4-0) du Panathinaïkos et qualifié, mercredi, en Coupe de l'UEFA, s'est accompagnée, côté tribunes, d'un constat d'apaisement: rien à signaler à l'intérieur comme autour d'un Parc des Princes transformé l'espace d'un soir en camp retranché par la présence de... 2000 membres des forces de l'ordre! Un retour au calme qui n'incite pourtant en rien à baisser la garde. Le PSG-Nice de dimanche, comptant pour la 18e journée de L1, étant considéré comme autant, sinon plus, sensible.

Un seul supporter en tout et pour tout en garde à vue. Si l'on y ajoute quelques interpellations pour outrages et injures, c'est là le bilan de la soirée vécue mercredi autour du Parc des Princes, à l'occasion de ce dernier match de la phase de poules de la Coupe de l'UEFA. Trois semaines après le drame qui avait coûté la vie à un jeune supporter parisien, tué par un policier en civil, à la sortie du match contre l'Hapoël Tel-Aviv (2-4), le Parc des Princes n'a été le théâtre mercredi d'aucun incident notable. Une première victoire pour le club mais aussi et surtout pour les autorités qui, pour l'occasion, avaient, il est vrai, déployé un dispositif exceptionnel.

Du jamais vu. On comptait ainsi mercredi pas moins de 2000 CRS, policiers et gendarmes autour du stade parisien, où le club avait, lui, mobilisé 700 stadiers et ce, malgré la fermeture des secteurs R1 et R2 de la tribune Boulogne, à savoir la partie basse où n'avaient donc pas pu prendre place les tristement célèbres 2000 supporters "indépendants" du PSG, la frange la plus violente du public parisien. Une démonstration de force colossale à la hauteur des craintes suscitées par ce premier match à domicile pour le PSG depuis la mort de Julien Quémener.

201 supporters interdits de stade!

Dans l'après-midi, ils étaient pourtant quelques uns à avoir voulu rendre hommage à ce dernier en déposant des fleurs au niveau du dépôt RATP, Porte de Saint-Cloud, devant lequel le drame s'était déroulé. Si le calme était de mise, la tension, elle, restait palpable malgré tout. Boulogne en partie bouclée, les forces de l'ordre se savaient également débarrassées des quelques 201 personnes interdites de stade et de ses alentours, se décomposant comme suit: 175 interdictions administratives et 65 judiciaires, certains individus jouant les cumulards au sein des deux catégories.

Pour autant, le Parc avait bien des allures de camp retranché. Et les abords de l'enceinte parisienne, dont les accès resteront interdits jusqu'à 19h30, livraient un décor des plus inhabituels pour un match de football. A l'entrée de chaque rue débouchant sur le stade stationnait ainsi un camion équipé d'un canon à eau, plus loin, près de 150 cars et fourgons patientaient, tandis que l'on apercevait même, outre huit policiers à cheval, un camion anti-émeute. Mais la mission de ces hommes se limitera fort heureusement à de la dissuasion.
L'accès au Parc nécessitait donc de montrer patte blanche avec pas moins de trois barrages, composés d'un double cordon de CRS et de gendarmes, avant trois séries de palpations. Le premier quart d'heure du match était sanctionné d'un silence glacial de la part du public en signe de protestation, preuve que le malaise, malgré l'entrevue qui avait eu lieu un peu plus tôt entre Alain Cayzac, Sébastien Bazin, patron de Colony Capital, l'un des actionnaires du club, et les associations de supporters, reste profond. Les banderoles déployées allaient successivement rendre hommage à Julien Quemener, puis viser la Ville de Paris qui, plus tôt dans la journée, avait sous la pression de la majorité des élus du Conseil de Paris, annoncé la mise sous conditions de la subvention accordée au club (*).
Ainsi, on pouvait lire à l'intention de Pascal Cherki, l'adjoint aux sports de Bertrand Delanoë: "Fermeture des tribunes populaires: Cherki, c'est toi qui parle de discrimination?" Mais encore, côté Auteuil cette fois, à destination des journalistes: "CAP concierge recherche emploi de journaliste." Il allait bien falloir les quatre buts de Pauleta et Kalou pour remettre le terrain au centre des préoccupations.

On veut croire qu'il en sera de même dimanche, à l'occasion d'un PSG-Nice autrement plus sensible avec l'irruption dans la capitale de supporters niçois, réputés difficiles et qui entretiennent avec leurs homologues parisiens une rivalité déclarée... Le Parc n'est pas prêt de retrouver un visage serein.



La tribune Boulogne à moitié vide, mais la colère des supporters couve toujours...



Camion anti-émeute: rien n'avait été laissé au hasard par les forces de l'ordre.

Nous sommes de sages garcons

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Communiqué officiel

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Football365

rrrrrrrrrrrrrrrrrrrr

Reporté en raison des risques d'incidents aux abords du Parc des princes, le match entre le Paris-SG et Toulouse, comptant pour la 16e journée, pourrait avoir lieu les 16 ou 17 janvier, jours réservés aux demi-finales de la Coupe de la Ligue, compétition dont les deux clubs sont éliminés.

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Il kiff foutre sa merde lui, apres l'affaire de la taupe il continu, il ne sert à rien... Langue de pute.
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Football365