Extra-Sportif / Faits Divers

Cinq supporters du PSG ont demandé samedi matin au tribunal administratif de Paris la suspension de leur interdiction de stade afin de pouvoir assister dimanche à la rencontre PSG-Nîmes. Le juge des référés du tribunal administratif, appelé à statuer dans l'urgence, devait rendre sa décision samedi après-midi. Les cinq supporters ont demandé la suspension de leur interdiction administrative de stade de trois mois prononcée le 20 décembre 2006 par le préfet de police de Paris. Leur avocat, Me Jérôme Triomphe, a affirmé que cette décision "mettait en cause la liberté fondamentale d'aller et venir" de ses clients dont il a contesté qu'ils soient des supporters violents. "Aucun fait ne peut être reproché à mes clients, si ce n'est de fréquenter la tribune Boulogne (du Parc des Princes, NDLR). Mais dans ce cas, il faut interdire de stade les 4.700 supporters" de cette tribune, a déclaré Me Triomphe qui a dénoncé "une répression aveugle". Le représentant du préfet de police a justifié les mesures d'interdiction administrative à la suite de la mort d'un supporteur parisien en marge de Paris SG-Hapoël Tel-Aviv en Coupe de l'UEFA, le 23 novembre 2006. "Il est apparu à l'ensemble des autorités qu'il fallait prendre à bras-le-corps le phénomène du hooliganisme pour l'éradiquer complètement", a-t-il insisté. Or, il est reproché aux cinq supporters qui ont saisi la justice "de faire partie d'un groupe, une sorte de meute", a ajouté la préfecture de police pour laquelle "le droit d'assister à des manifestations sportives ne fait pas partie des libertés fondamentales".
Un dispositif de sécurité important sera mis en place dimanche aux abords et à l'intérieur du Parc des Princes et 201 personnes ont été interdites de stade avec obligation de pointage, pendant le match, dans un commissariat ou une gendarmerie.

ils ont raison si ils ont rien a se reprocher et rien fait ils doivent se defendre

Rejet du recours

Le juge des référés du tribunal administra

tif, appelé à statuer dans l'urgence, a rejeté les cinq demandes déposées au nom de "la liberté fondamentale d'aller et venir", selon les termes de l'avocat des supporters au cours de l'audience tenue samedi matin. Les cinq supporters, âgés de 18 à 25 ans, qui réfutent tout comportement violent, demandaient la suspension de leur interdiction administrative de stade de trois mois prononcée le 20 décembre 2006 par le préfet de police de Paris. Au cours de l'audience, le représentant du préfet de police avait justifié les mesures d'interdiction administrative à la suite de la mort d'un supporteur parisien en marge de PSG-Hapoël Tel-Aviv en Coupe de l'UEFA, le 23 novembre 2006. Deux cent une personnes ont été interdites de stade avec obligation de pointage dans un commissariat ou une gendarmerie, pendant le match de dimanche au Parc des Princes aux abords et à l'intérieur duquel un important dispositif de sécurité sera mis en place.

justice de m**de c'est une honte sa pffff

Coupe de France - dispositif de sécurité important

La préfecture de police de Paris a indiqué qu'un « dispositif de sécurité important » serait mis en place dimanche aux abords et à l'intérieur du Parc pour le 32 e de finale de la Coupe de France entre le PSG et Nîmes, sans préciser le nombre de forces de l'ordre mobilisées. Seuls les spectateurs munis de billets et les riverains seront admis dans le périmètre de sécurité. Une surveillance particulière du métro sera exercée.

atention ont est des terroristes trés dangereux

Supporters - « Cherki, ton stade, c'est Charléty »

Un membre du service d’ordre pour moins de six spectateurs d’après Le quotidien Le Parisien daté d’aujourd’hui! Chiffre surréaliste mais qui s’explique par une très faible affluence, la plus basse depuis 12 ans. En effet hier le PARC comptait 12079 spectateurs.

300 supporters se trouvaient dans la tribune Boulogne!
300 irréductibles assez inspirés hier après-midi, déployant pour cette occasion 3 banderoles visant la mairie de Paris favorable à la fermeture de toute la tribune Boulogne.

Sur la première banderole on pouvait y lire « Supporter mais aussi électeur, à bon entendeur... » En référence aux élections municipales de 2008. Sur la deuxième banderole, l’adjoint aux sports de la mairie de Paris fut directement visé : « Cherki, ton stade, c'est Charléty » stade se situant dans le 13ème arrondissement. Et enfin la dernière, sûrement la plus sarcastique:« JO, PSG, SDF, ils sont forts à la mairie »Le divorce entre la mairie de paris et une frange du public parisien est définitivement consommé.