18e Journée : Paris SG 0-0 OGC Nice

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Football365

Vivement demain
Moi je pense que si on rste sur la meme dynamique que contre le pana on peut largement battre nice

aaallleeeeeeeezzzzzzzzz pariiisssssssssss

Donne des arguments kevin au lieu de dire ca a chaque fois dire

ba que veut tu je dise faut qu on gagne on va gagner si lacombe mais la compo du pana donc allleezzz paris

Continuer à nous Faire rêver !

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Football365

Baning n'est pas dans le groupe?? Faudrai un jour lui donné une chance!! Le peu de fois que je l'ai vu jouer,il avait le niveau,nan??

kevinpsg55 a écrit:

ba que veut tu je dise

Si t'as rien a dire met rien ^^

Faut que Lacombe nous montre qu'il a repris la situation en main, mais ce match contre nice suffira pas !

Léon a écrit:

Baning n'est pas dans le groupe?? Faudrai un jour lui donné une chance!! Le peu de fois que je l'ai vu jouer,il avait le niveau,nan??

Bah moi je ne l'ai jamais vu jouer donc je ne peux pas te répondre mais il parraitrait qu'il est doué, je ne sais pas quoi penser en fait

Oué j'avoue,
difficile de le jugé!
En debut de saison,tout le monde(entraineur,medias..) s'accordé à dire qu'il allait cassé la baraque!
C'était une vilaine farce!!!

Après un mois et demi cauchemardesque et seulement deux points pris au cours de cette période, le PSG entend relever la tête dimanche après-midi à l'occasion de la réception de Nice. Guy Lacombe estime avoir des raisons d'y croire après la prestation de ses joueurs à Gerland contre Lyon sévèrement sanctionnée d'un revers (3-1) et surtout après la belle victoire qualificative pour les seizièmes de finales de la Coupe UEFA aux dépens du Panathinaïkos (4-0). Un succès assorti, et ce n'est pas rien, du calme retrouvé au Parc des Princes. A confirmer.

Reparler football. Enfin. Et oublier ce mois novembre en enfer. Pour le PSG, encore plus que d'habitude, le rendez-vous de dimanche au Parc des Princes contre Nice sera fondamental. Le faux-pas est en effet strictement interdit pour une équipe dont on a encore du mal à juger de la valeur réelle tant les interférences se sont multipliées ces dernières semaines. Après la pathétique défaite contre l'Hapoel Tel Aviv (2-4) qui a entraîné les débordements que l'on sait et au bout du compte la mort d'un supporter, le jeu du PSG n'était plus vraiment la priorité des observateurs. De fait, depuis cette date funeste, le club de la capitale d'abord sous le choc, n'a pu dans un premier temps que limiter les dégâts, à Nantes (1-1) puis à Boleslav (0-0) avant d'être privé du match contre Toulouse.

Au chômage technique, les Parisiens ont profité de l'occasion, avant de se rendre à Lyon, pour se retrouver lors d'un stage à Aix-les-Bains qui, de l'avis de tous, a été une réussite sur le plan psychologique. Et si à Gerland, le résultat n'a pas été à la hauteur des espérances, les Parisiens, une fois encore contre l'OL, n'ont pas eu à rougir de leur défaite. Il était temps alors de retrouver le Parc des Princes face au Panathinaïkos en essayant de faire abstraction du contexte très lourd (une partie de la tribune Boulogne fermée et un déploiement policier gigantesque autour du stade). Ce à quoi les coéquipiers de Pauleta se sont employés avec à la clé une belle victoire, 4-0. Une victoire à l'issue d'un match pleinement maîtrisé que Guy Lacombe aimerait pouvoir considérer comme le fameux match-référence après lequel il court depuis le début de saison.

Nice pour repartir

Mais l'Aveyronnais a compris qu'à Paris, il convenait de rester prudent et de ne surtout pas s'enflammer. L'entraîneur parisien, qui note toutefois du mieux au sein de son groupe où il peut s'appuyer sur un Sylvain Armand qui enchaîne les très bonnes prestations ou encore sur un Bonaventure Kalou de retour à son meilleur niveau, espère donc une confirmation sans attendre face à Nice. Car au-delà de la crise identitaire dans laquelle le club est plongé, la situation est grave sur le plan comptable. Quinzième, le PSG, dont c'est le pire début de saison de son histoire dans l'élite, ne compte en effet que deux points d'avance sur Nice, son adversaire de dimanche, et sur le premier relégable, Troyes. Une victoire contre les Aiglons les éloignerait de fait de la zone rouge, ce qui ne serait pas un luxe, avant éventuellement de mettre à profit leurs deux prochains matches a priori à leur portée contre des rivaux directs, Troyes et Valenciennes.

En attendant l'arrivée probable de Marcelo Gallardo au mercato d'hiver, le PSG a grand besoin de rebâtir des fondations solides pour espérer une deuxième partie de saison plus conforme à ses ambitions et donc forcément plus paisible. Reste qu'après trois nuls face à Sedan, Auxerre et Nancy, les Niçois qui s'étaient imposés au Parc la saison dernière (1-2) ont tout autant besoin de prendre des points. Guy Lacombe s'attend donc à un rude combat en espérant que celui-ci soit circonscrit à la pelouse et sait que tout autre résultat qu'une victoire des siens mettrait en péril la relative accalmie dont il bénéficie depuis quelques jours. A Paris comme nulle part ailleurs, la tempête menace à tout moment...



Armand et Kalou, les deux hommes en forme du PSG.

sayé je menvait a tout a lheure au parc

allleeezzzzzzzzzzz pppaarriiissssssssss

sérieu il y a trop moyen de gagner là

je voit meme une large victoire

Mi-temps: Paris SG 0-0 OGC Nice

C'est fini au Parc. Très mauvais résultat. Mauvais match, pas beaucoup d'occaz, beaucoup de faute... C'est triste...

Kalou a quand meme mis une tete sur le poteau mais apart ça les parisiens ils ont pas eu d'autres grandes occasion, moi qui pensait que paris allait mieux je crois qu'on est pas sortit de la crise ...

Retour du parc

match de merde

La qualification pour les 16es de finale de la Coupe UEFA a incontestablement pesé lors de ce dernier match de l’année 2006 au Parc. Les Parisiens ont terminé cette rencontre exténué, parfois même meurtris par des crampes. L’envie et les encouragements du public n’ont pas suffi à Paris pour empocher trois points pourtant ô combien importants.

Au Parc des Princes,

Le PSG retrouvait donc le Parc des Princes quatre jours après avoir brillement obtenu son billet pour les 16es de finale de la Coupe UEFA (PSG-AEK). Pour cette réception de Nice, Guy Lacombe a d’ailleurs fait confiance au même onze de départ, souhaitant ainsi surfer sur la vague du succès.

Après une minute de silence en la mémoire de Marc, membre des Boys décédé d’une crise cardiaque au retour de Lyon, Parisiens et Niçois débutent timidement cette rencontre. Timorés en début de match, les joueurs de la capitale prennent progressivement le dessus sur leur hôte du soir. Bien lancé par Mendy, Kalou cherche la tête d’Hellebuyck au second poteau (7e). Trop court, l’ancien stéphanois, est devancé par Varrault et ne peut conclure ce joli mouvement collectif. Dans un match aux faux airs de relégation, les 22 acteurs s’affrontent sur un rythme décousu.

Déjà héroïque face aux Grecs du Panathinaïkos, Kalou hausse le tempo de cette rencontre. Après un bon centre d’Hellebuyck, décidément bien inspiré en ce milieu d’après-midi, la tête de l’Ivoirien vient cependant s’écraser sur le poteau de Lloris (17e). Le portier niçois était battu et le public n’attendait que ça pour se réchauffer…

Les Parisiens n’hésitent pas à faire tourner la balle histoire de faire sortir une formation niçoise bien décidée à préserver son but inviolé. Cela a le don d’agacer le public du Parc, qui ne pardonne décidément rien à ses protégés. Cyril Rool, fraîchement averti, ose ensuite une reprise de volée à l’entrée de la surface de réparation entraînant la première parade de Mickaël Landreau (33e).

Paris et Nice dos à dos

Très peu sollicité jusque-là, l’ancien nantais intervient une seconde fois dans les pieds de Koné (42e), alors que Mendy règle maladroitement quelques comptes avec la poignée d’irresponsables qui ne cesse de le siffler à chacun de ses ballons. Paradoxalement, ces sifflets ont le don de revigorer le latéral parisien, auteur d’un centre-tir à deux doigts de tromper Lloris.

Guy lacombe profite de la pause pour remplacer Yepes par Dramé et faire ainsi coulisser Armand dans l’axe de la défense. Sur un nouveau bon travail de Mendy, le PSG obtient un corner. Hellebuyck trouve Pauleta au second poteau qui coupe la trajectoire de la balle et oblige une nouvelle fois Lloris à se détendre (51e). Dans la foulée, Kalou lance Rodriguez défier ce même Lloris, un duel remporté par le jeune aiglon (52e).

Les Parisiens évoluent plus haut en ce début de seconde période et posent incontestablement des problèmes aux hommes d’Antonetti, contraints de se débarrasser trop vite du ballon. Un nouveau rush côté de droit de Mendy offre à Hellebuyck une balle de but. A la lutte avec Apam, le milieu parisien ne peut cependant ajuster sa reprise (60e). Conspué quelques minutes plus tôt, Bernard Mendy a réussi à inverser la tendance. C’est même le Parisien le plus dangereux, à l’image de ce nouveau service sur la tête de Pauleta (62e).

Alors que Diané s’apprête à faire son entrée en jeu, Rodriguez enroule sa frappe et redonne un peu de punch à une rencontre sans grand relief (79e). Sur le contre, Moussilou se retrouve seul face à Landreau. Le gardien du PSG remporte son duel au prix d’une magnifique parade et évite ainsi au PSG une fin de rencontre crispante (80e).

Le dernier match de l’année 2006 au Parc des Princes ne restera donc pas dans les mémoires. On retiendra une fois de plus, que l’adversaire du soir n’a pas cherché à jouer mais à exploiter au mieux quelques contres rondement menés. Avec ce tout petit point, le PSG ne s’extirpe pas du peloton des mal classés et pourrait bien passer les fêtes de fin d’année dans une position fort inconfortable en cas de mauvais résultat à Troyes. Voilà Paris prévenu !

je suis de retour chez moi encors une fois dégouté comme dhab

mendy 8 minute 3 centre dans les tribune pfff quel nul ce mec il y a toujours été en + il a prouvait qu il mérité son ballon de plomb et vue le geste et les insulte qu il a fait au supporters pffffespece de ba**rd va apprendre a jouer au foot aprés tu pourra ouvrir ta bouche