19e Journée : Troyes 1-1 Paris SG

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L'Equipe
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le sort sacharne sur tous on est vraiment dans la merde samedi on va etre relegable pfffffffffff

On est pas dans la merde...

traoré et mendy titulaire a ba sa va etre beau en defense jai meme peur de regarder le match la

De toute facon je vois mal comment on peut joué pire que contre Nice

Troyes-PSG.

Le groupe du PSG

Voici la liste des joueurs retenus par l’entraîneur Guy LACOMBE pour le match opposant TROYES au PSG, comptant pour la 19ème journée du championnat de France de Ligue1, le samedi 23 décembre 2006 :


[size=9]ALONZO Jérôme
ARMAND Sylvain
BOLI Yannick
CISSE Edouard
DIANE Amara
DRAME Boukary
HELLEBUYCK David
KALOU Bonaventure
LANDREAU Mickaël
MENDY Bernard
MULUMBU Youssuf
MVOTO Jean-Yves
NGOG David
NGOYI Granddi
PANCRATE Fabrice
PIETRE Samuel
ROZEHNAL David
TRAORE Sammy

Match Troyes-PSG
Stade de l’Aube
19e journée du championnat de France de Ligue1
Samedi 23 décembre 2006 à 15 heures
Match diffusé en direct sur FOOT+



ba sa va etre beau ...........

On va gagner facilement !

Bernard Mendy a vécu l'un des pires moments de sa carrière la semaine dernière au Parc des Princes contre Nice (0-0). Pris en grippe par une partie des spectateurs, le défenseur avait craqué en faisant un bras d'honneur à un public qui le sifflait. Le joueur s'est excusé par le biais d'un communiqué, et malgré le soutien des joueurs, cette fracture avec une partie du public pourrait le pousser à partir. Mais avant l'ouverture du mercato, il reste un dernier rendez-vous à honorer, samedi, au stade de l'Aube face à Troyes.

Le PSG n'avait vraiment pas besoin de ça. Un joueur qui se fait siffler par son propre public à chaque fois qu'il touche le ballon, il ne manquait plus que ça! Le Parc des Princes a donc ajouté une nouvelle corde à son arc en cette si déprimante saison en conspuant littéralement Bernard Mendy. Souvent pointé du doigt, le joueur qui venait de se voir attribuer la pérennité du ballon de plomb en a tout simplement eu marre de se faire copieusement insulter, alors en réponse, après avoir réussi un centre-tir qui faillit bien tromper Hugo Lloris, le joueur adressa un bras d'honneur à certains de ses détracteurs.

"Je regrette profondément de m'être ainsi laissé emporter. Ce n'est pas ce que j'essaie d'inculquer au quotidien à ma fille. Je demande simplement à tout le monde de comprendre, que ce geste, que je regrette, est la conséquence de la nervosité ambiante actuelle, même si cela ne constitue en aucun cas une excuse", reconnaît le joueur dans un communiqué après avoir reçu un avertissement de la part de son président. Une entrevue avec Alain Cayzac et Alain Roche qui se serait néanmoins plutôt bien déroulée, tout le monde au sein du club comprenant parfaitement le joueur.

Quand Troyes se fait menaçant

Pourtant, il était évident que cette réaction envenimerait la situation. Le joueur aura néanmoins eu le courage de poursuivre la rencontre, réalisant même une deuxième période très intéressante, au point de faire changer d'avis le public qui finira par l'applaudir ! Un exploit qui montre une force de caractère certaine. Cela ne règle néanmoins pas complètement la situation pour un joueur qui, selon plusieurs sources, serait favorable à un départ lors du prochain Mercato. Il ne serait pas le seul sur le départ puisque Pancrate et Rothen seront très clairement à l'écoute des recruteurs. Pancrate aurait des pistes en Angleterre tandis que Rothen se verrait bien filer en Espagne, histoire de changer d'air.

Malgré cela, il reste encore une dernière rencontre à disputer en 2006, ce sera à Troyes pour le compte de la 19e journée de championnat. Un match qui n'aurait jamais dû sentir à ce point le soufre. Car contre toute attente et malgré un match en retard à disputer au Parc des Princes contre Toulouse, le PSG est sous la menace des Troyens au classement! Il existe même un cas de figure, en cas de victoire de Troyes, Nice et Valenciennes qui enverrait Paris tout droit dans la zone des relégables.

Le meilleur moyen d'éviter cette humiliation reste bien entendu de ne pas perdre au stade de l'Aube. Mais comme rien n'est simple cette saison, Guy Lacombe va devoir composer sans Pauleta, Frau, Rodriguez, Rothen ni peut-être Yepes. Cela ne semble pas entamer le moral inoxydable de l'Aveyronnais. "Nous jouons bien à l'extérieur et mes joueurs souhaitent gagner pour finir l'année sur une bonne note. Ils sont prêts pour ce challenge", prétend-il en effet sur le site du club. Sans faire injure à l'Estac, que le PSG soit "prêt" à l'affronter, c'est tout de même la moindre des choses...



Mendy rejouera-t-il au Parc des Princes

un match à notre porté celui là aussi!

sérieu si on perd lacombe c'est sur qu'il bouge mais il nous faut ces 3 points très important!

Kalou-Pancrate devant ?

non je pense kalou-diané

ya pas traoré c'est deja sa bon ya mendy rrrrr
content ya mulumbu je laime bien ce jeune

et voila un vieux match nul on joue bien et dais que lon se fait égalisé il se chie dessus ya plus personne des vrai blereau pffffffff






NOUS SUPPORTERS ON SERA TOUJOURS LA

L'année 2006 ne restera pas dans les mémoires...

C'est clair, à oublié rapidement!
Y'a un gros malaise! on arrive plus à gagné .. :
Pour 2007,opération maintient!

Le Paris Saint-Germain ne s'est pas offert de répit avant les fêtes. En déplacement à Troyes samedi après-midi pour le compte de la 19e journée de Ligue 1, la formation de Guy Lacombe a concédé le match nul (1-1) après avoir pourtant ouvert le score par Diané (48e). Moins lucides en fin de partie, les joueurs de la capitale se sont fait rejoindre sur un but de Ba (74e). Au classement, le PSG demeure en mauvaise posture (15e).

Le dernier match de l'année du PSG aura finalement été conforme à ce que le club de la capitale aura montré en 2006. En quête d'un résultat probant à Troyes samedi afin de s'offrir un petit bol d'air avant les fêtes, les Parisiens ont failli dans leur tâche. Comme souvent ces derniers temps, les hommes de la capitale, privés dans l'Aube de joueurs cadres tels Pedro Pauleta, Mario Yepes et Jérôme Rothen, ont livré une prestation correcte dans le jeu mais ont fait preuve d'une inefficacité criante.

Pourtant, l'ouverture du score d'Amara Diané au tout début de la seconde période laissait penser que les hommes de Guy Lacombe avaient fait le plus dur mais une baisse de régime coupable lors de la dernière demi-heure a permis aux Troyens d'arracher le point du match nul grâce à une réalisation de Georges Ba. Quinzièmes à mi-championnat avec un match en moins à disputer face à Toulouse mais en attendant la suite de la 19e journée qui se dispute dans la soirée, le PSG semble bien voué à se battre pour le maintien lors de la seconde moitié de la saison, loin, très loin, de ses objectifs initiaux.

Les joueurs de la capitale avaient pourtant pris le match par le bon bout. D'entrée, David Hellebuyck met Ronan Le Crom à contribution. La frappe de l'ancien Stéphanois adressée à l'entrée de la surface de réparation est toutefois bien détournée par le gardien troyen (4e). Incisifs dans les duels, les hommes de Guy Lacombe ratissent énormément de ballons au milieu de terrain grâce à un trio de récupérateurs Edouard Cissé-David Hellebuyck-Youssouf Mulumbu très efficace. Complètement étouffés, les Troyens subissent les assauts parisiens et Ronan Le Crom sauve une nouvelle fois les siens en repoussant la frappe d'Amara Diané venu seul à sa rencontre suite à une ouverture millimétrée dans l'axe de Bonaventure Kalou (12e).

Une première période animée

Dans la foulée, Fabrice Pancrate fait passer un nouveau frisson dans les travées du stade de l'Aube mais l'ancien Manceau, seul devant le portier troyen, ne cadre pas sa frappe, au plus grand dépit de Guy Lacombe (16e). La première frappe de l'Estac n'intervient qu'après vingt minutes de jeu mais Gaël Danic expédie le ballon bien loin du cadre de Mickaël Landreau (20e). Une tentative qui a le mérite de réveiller les hommes de Jean-Marc Furlan. Gharib Amzine tente à son tour sa chance à l'entrée de la surface de réparation et cette fois-ci, la tentative ne passe que quelques centimètres au-dessus de la lucarne droite de Mickaël Landreau (24e). Le même Gharib Amzine ne baisse pas les bras et remet ça en adressant une lourde frappe du pied gauche mais là encore, le cadre se dérobe (30e). Les Parisiens ont toujours leur emprise sur le match mais petit à petit, les Troyens entrent dans la partie.

Gaël Danic le démontre en adressant une nouvelle frappe mais la précision fuit les Troyens en cette première période (31e). Bonaventure Kalou, capitaine d'un jour à Paris, amorce la réaction parisienne, son tir des dix-huit mètres est bien détourné par l'excellent Ronan Le Crom. Après trente minutes disputées sur un rythme effréné, les 22 acteurs éprouvent le besoin de souffler durant le dernier quart d'heure de la première période. A la pause, malgré un match très enlevé, le tableau d'affichage reste figé.

La main de Ba ?

Mais il va se débloquer dès le retour des acteurs sur le pré. Les Troyens n'ont pas le temps de mettre leur nouveau dispositif en place avec l'entrée de l'attaquant Georges Ba à la place du milieu Eloge Ethisse Enza-Yamissi que le PSG trouve la faille. Sur un centre de Boukary Dramé, monté dans son couloir droit, Amara Diané récupère le ballon au point de penalty et après un contrôle, adresse une frappe en pivot qui passe entre les jambes de Grégory Paisley et trompe Ronan Le Crom masqué sur le coup (1-0, 48e). L'ouverture du score a pour effet de rendre la partie plus tendue et sur une action cafouilleuse dans la surface de réparation troyenne, Fabrice Pancrate, sifflé pour une obstruction, perd quelque peu son calme mais heureusement tout rentre rapidement dans l'ordre (55e).

Troyes, qui ne peut pas se permettre de perdre à domicile, vu sa position de relégable, appuie sur l'accélérateur dans la dernière demi-heure. Et Yann Lachuer croit bien égaliser lorsque seul dans la surface, il adresse une frappe limpide que Mickaël Landreau détourne grâce à une horizontale phénoménale (65e). Dans la continuité, Cédric Barbosa récupère le ballon et, après un petit festival technique, frappe dans le petit-filet. Le PSG a eu très chaud. Et cède même sur l'occasion suivante. Sur un centre de Gaël Danic, remisé par Gharib Amzine, Georges Ba contrôle le ballon et frappe sous la barre de Mickaël Landreau. Les Parisiens ont beau réclamer une main de l'attaquant de l'Estac au moment de sa prise de balle - les images de télévision semblent d'ailleurs leur donner raison, le but est validé par monsieur Duhamel (1-1, 74e). Le PSG a bien des raisons de se sentir maudit en ce moment.

Cette égalisation crispe en tout cas les hommes de Guy Lacombe qui souffrent en fin de match. Malgré quelques occasions franches, les Troyens ne parviennent néanmoins pas à arracher la victoire et signer ainsi un hold-up. La réaction de Sylvain Armand qui parle d'"un bon point de pris" à la fin du match résume bien l'actuel manque de confiance, mais aussi d'ambitions des Parisiens. Vainqueurs seulement à quatre reprises en dix-neuf matches de championnat, les hommes du président Cayzac devront se retrousser les manches dès le début de l'année 2007. Avec ou sans Guy Lacombe.





Amara Diané avait pourtant mis le PSG sur les bons rails.



Guy Lacombe résistera-t-il à cette nouvelle performance décevante de ses hommes



Le PSG mal récompensé. Malgré de nombreuses absences, Paris a offert devant Troyes un visage séduisant pendant plus d'une heure. Menant à un quart d'heure de la fin, le PSG s'est cependant fait reprendre (1-1) et termine l'année sur une septième rencontre sans succès.

Les notes de l'Equipe :

M.LANDREAU 7
B.MENDY 5.5
S.ARMAND 6
D.ROZEHNAL 5
B.DRAME 5.5
S.TRAORE (82e)
E.CISSE 4.5
D.HELLEBUYCK 4.5
Y.MULUMBU 4.5
B.KALOU (c.) 5.5
F.PANCRATE 3.5
A.DIANE 6

Super Pancrate... Tu confirmes la merde que tu es...

Landreau a toujours la meilleure note

Ba en ce moment c'est grace a lui que l'on est pas dernier.

Triste...

Alala franchement il n'y a pas de mots pour qualifié le PSG ces mois-ci.

Lacombe démission c'est tout !

Doucement mais sûrement, le Paris-SG continue sa descente vers les profondeurs du classement de la Ligue 1. Et si l'équipe de la capitale n'a pas démérité à Troyes, samedi lors de la 19e journée de Ligue 1, elle a une nouvelle fois fait preuve de grosses absences qui ont permis à l'Estac d'égaliser après l'ouverture de score de Diané (1-1). Voilà Paris 16e avec seulement deux points d'avance sur le premier relégable au moment de terminer l'année 2006 et malgré cette situation catastrophique, on continue à entendre parler de "manque de réussite" et de lendemains qui chantent...

Comme un air de déjà-vu. Match après match, défaites après nuls ou nuls après défaites, c'est la même rengaine qui nous est servie du côté de la capitale. "On a bien joué", "La réussite nous a encore fuis", "Une nouvelle fois, l'arbitrage ne nous a pas été favorable", "Si on continue de la sorte, ça ira mieux", tels sont les tubes à la mode à Paris depuis le début de la saison. Et si on connaît maintenant bien la chanson, force est de constater que les oracles ne courent pas les rues parisiennes, puisque ces prédictions s'avèrent pour l'instant clairement infondées.

A mi-Championnat, le PSG occupe le 16e rang de la Ligue 1, avec 19 petits points au compteur, soit 4 victoires, 7 nuls, 7 défaites (et un match en moins à jouer contre Toulouse le 17 janvier). Pour se maintenir la saison dernière, Toulouse, le 17e, avait eu besoin de 39 points, même si moins lui auraient suffi, le 18e, Ajaccio, terminant avec 33 unités. Autant dire que si le PSG poursuit sur le même tempo, il va droit vers une Ligue 2 qu'il n'a plus connue depuis sa première accession parmi l'élite, en 1974... La situation, gravissime pour un club qui aspirait à la Ligue des champions en début de saison, est-elle prise au sérieux du côté du Camp des Loges ou du Parc des princes?

Il y a de quoi se poser la question lorsqu'on entend les réactions de Guy Lacombe, match après match. Samedi, après le nul à Troyes (1-1), l'Aveyronnais ne semblait toujours pas disposé à actionner la sonnette d'alarme. "C'est une nouvelle déception car l'équipe méritait de gagner, surtout après notre bonne première période. Comme depuis le début de saison, nous sommes victimes d'un manque de réussite. Nous souhaitions pourtant finir l'année sur une victoire afin de faire plaisir à nos supporters. La chance va bien finir par tourner en notre faveur !" Surréaliste !

Un scénario écrit d'avance...

Alors certes, Paris a plutôt bien joué au stade de l'Aube face à un adversaire qui, sans lui faire injure, n'est quand même pas un cador de la Ligue 1. Les joueurs de la capitale auraient pu et dû se mettre à l'abri dès la première période, mais quand Pauleta n'est pas là, il ne se trouve personne pour le relayer au niveau de l'efficacité, Hellebuyck, mais surtout Diané et Pancrate ayant manqué avant la pause des face-à-face au devant de Le Crom. "On a trois occasions, on ne concrétise pas et on commence à douter dans la tête", reconnaîtra après coup Diané qui se rattrapera après le repos en ouvrant la marque d'une belle frappe en pivot dans la surface auboise. Paris avait alors fait le plus dur, mais inexplicablement, ce but va faire plonger physiquement et mentalement une formation qui, jusque-là, n'avait guère été inquiétée par son adversaire.

Certes, Troyes a fait le nécessaire pour se créer des occasions et mettre Paris sur le reculoir, mais on ne peut qu'être surpris de la facilité avec laquelle le cours du match s'est inversé, comme si ce scénario était écrit d'avance. Autant dire que l'égalisation de Ba, à la conclusion d'un beau mouvement à trois de l'Estac, n'était qu'une affaire de patience pour l'équipe de Jean-Marc Furlan qui, avec ce nul, se retrouve premier relégable avec deux points de retard seulement sur le PSG, 16e. "On les maintient à deux points", soulignera d'ailleurs à la fin du match un Sylvain Armand qui parlera de "bon point pris", tout en regrettant la grosse baisse de régime de ses partenaires après leur but. "C'est surtout mentalement qu'on pèche. Je suis sûr qu'on n'est pas à notre place au classement. Il faut juste qu'on se montre plus tueurs, qu'on parvienne à être plus concentrés dans toutes les circonstances."

Le bilan famélique de Lacombe

Et si Paris ne se montre pas plus "tueur"? Au mépris des chiffres, il n'est toujours personne dans le groupe pour évoquer le mot "maintien", comme s'il s'agissait d'un tabou absolu, proscrit par la communication du club qui prend toujours soin de prévenir les joueurs de tout dérapage verbal. Alors on nous répète que le jeu est plutôt bon, ce qu'on veut bien croire au regard de certains des derniers matches joués (à Lyon et Troyes...), que la chance va finir par basculer du bon côté, mais peut-on, au regard du bilan de Guy Lacombe depuis son arrivée à la tête de l'équipe première, réellement y croire? L'an dernier, sur la seconde partie de la saison avec l'Aveyronnais aux commandes, le PSG était passé de la 6e place, à 2 points du deuxième, à la 9e, à 17 longueurs de Bordeaux, dauphin de Lyon, avec à la clé 4 victoires, 9 nuls et 6 défaites, un bilan clairement inférieur à celui de son prédécesseur Laurent Fournier, dont on n'a toujours pas compris les raisons du licenciement.

En un an de Ligue 1, Lacombe affiche un bilan famélique pour un club comme Paris de 8 victoires, 16 nuls et 13 défaites, soit 40 points sur 111 possibles. Jamais au cours de ces dernières saisons, l'équipe de la capitale n'a été aussi proche de l'échelon inférieur (son pire classement final est une 15e place en 1974-75 et 1987-88), et malgré cela, pas une voix en interne ne semble s'alarmer de cette situation, hormis celle des supporters qui, samedi à Troyes, ont scandé des "Une équipe à Paris!" et autres "Lacombe, démission!", que le président Alain Cayzac se fait fort d'ignorer, jouant la carte de la fidélité (pour longtemps encore ?). Comme s'il suffisait de s'appeler Paris-SG pour être prémuni contre le spectre d'une descente. Et pourtant, c'est bien cet objectif qui sera jusqu'en juin le quotidien de joueurs qui, pour la plupart, n'ont sans doute guère l'habitude de ce genre de combat, contrairement aux Troyens, Niçois, Sedanais, Valenciennois et autres Nantais, davantage acclimatés ces dernières saisons à ces luttes pour la survie... Et comme le mental de ce PSG n'est clairement pas son point fort, il y a de quoi s'inquiéter. Mais ne le dites pas trop haut...



Pancrate et le PSG finissent l’année 2006 à la 16ème place…



Troyes et le PSG n'ont pas réussi à se départager à l'issue d'une rencontre agréable ce qui n'arrange aucune des deux équipes.



Ce match nul ne satisfait ni Parisiens ni Troyens qui stagnent dans la deuxième partie du classement à la trève.



Ferreira ferme le passage à Pancrate. Au résultat, un match sans but qui laisse les deux équipes dans une situation délicate.

Dans la derniere phrase :

Ferreira ferme le passage à Pancrate. Au résultat, un match sans but qui laisse les deux équipes dans une situation délicate.

Je signale qu'il y a eu 1 à 1 donc des buts.

On a manquer de precision dans la finition.

Avec Pancrate devant c'était sur d'avance mais bon il a louper d'ces trucs c'est fou