Apres Match [Paris SG 4 - 1 AJ Auxerre]

Lalalalalalalalalalalalala magnifique match du psg!! allez faut continuer comme ca a monaco allez paris !!!

super match fabuleux belle victoire un bon collectif sa fesait lomptenp que lon avé pas vue sa au parc c est trop bon pour le moral il faut continuer sur cette lancais alé paris la dans les bon et les mauvais moments

Le PSG a écrasé l'AJA 4-1, dimanche soir au Parc en clôture de la 31e journée de L1. Une victoire signée avec panache grâce à un doublé de Kalou, une réalisation de Pauleta et un but contre son camp du malheureux Bolf, Mathis sauvant l'honneur pour les Bourguignons. Une bouffée d'oxygène pour les Parisiens qui n'avaient plus gagné en championnat depuis huit journées et n'avaient plus connu pareille fête à domicile depuis l'ouverture de la saison, face à Metz (4-1).

Kalou et Cissé fêtent le carton du PSG.

Le PSG goûte à nouveau au succès en dominant largement Auxerre, quatre buts à un.

La rencontre démarrait sur un rythme soutenu, le jeu se déployant d'un but à l'autre. Mais il fallait attendre le premier quart d'heure pour voir la première occasion. Sagna remisait trop mollement de la tête pour Cool qui devait jaillir dans les pieds de Pauleta (16e). Paris se libérait dix minutes plus tard. Cissé décalait Pauleta côté droit qui centrait en première intention pour Kalou au point de penalty. L'Ivoirien battait Cool d'une frappe croisée (26e). Puis sur un débordement et un centre de Rothen, c'est le malheureux Bolf qui trompait son gardien d'une tête plongeante (2-0, 37e).

Au retour des vestiaires, Paris agravait le score par l'inévitable Pauleta, bien lancé par Kalou. Le Portugais prenait le meilleur sur Radet et trompait à nouveau le portier bourguignon (55e). Euphorique, le PSG inscrivait un quatrième but dans la foulée. Dhorasoo déposait le cuir sur le pied de Kalou pour un doublé (57e).

Mathis sauvait l'honneur pour l'AJA au terme de cinq minutes complètement folles : l'Icaunais reprenait de volée, depuis le côté droit de la surface d'Alonzo, une magnifique transversale (4-1, 59e).

Le PSG, qui a retrouvé face à Auxerre un collectif et l'envie de jouer ensemble, revient à six points de la troisième place et de la Ligue des Champions et gagne un rang au classement, 8e avec 46 unités au compteur. Auxerre conserve sa quatrième place, quatre points devant Paris.

Après huit matches sans succès, le PSG a retrouvé le chemin de la victoire en championnat en battant dimanche soir au Parc des Princes, Auxerre (4-1). Un doublé de Kalou et des buts de Pauleta, et de Bolf contre son camp, ont récompensé les bons efforts des joueurs parisiens qui ont affiché, dans cette dernière rencontre de la 31e journée de Ligue 1, des vertus solidaires enfouies depuis longtemps. Le PSG, qui n'avait plus marqué quatre buts dans un match depuis la 1ere journée, peut espérer, dans ces conditions, une fin de saison ambitieuse.

Paris, tu nous étonneras encore. Transparents devant la réserve de l'OM (0-0), juste convaincants pour éliminer les amateurs de La Duchère en Coupe de France (3-0), les Parisiens ont montré, ce dimanche soir au Parc des Princes, un visage nettement plus séduisant que lors de leurs précédentes sorties, comme métamorphosés.

Les supporters de la capitale ont enfin vu leurs protégés jouer en équipe, solides comme un bloc. Et la présence au coup d'envoi du quatuor offensif Rothen-Dhorasoo-Kalou-Pauleta n'est pas étranger évidemment à cette excellente performance, surtout quand ces quatre garçons, dans le vent ce soir-là, évoluent en mouvement et dans les intervalles.

Ajoutez à cette généreuse animation les deux milieux défensifs, M-Bami et Cissé, empreints des mêmes intentions, et vous obtenez une formation parisienne des plus flamboyantes, pour reprendre une expression laissée, depuis longtemps par les observateurs, au placard du Parc. Après un premier but signé du buteur de Nancy (1-1), Bonaventure Kalou, reprenant un centre de Pauleta (26e), les protégés de Guy Lacombe doublaient la mise avec le concours inattendu de René Bolf.

Le défenseur international tchèque battait Fabien Cool d'une puissante tête plongeante, à la manière d'un véritable chasseur de buts, sur un centre bien fouetté de Jérome Rothen (2-0, 37e). Ce dernier, après avoir exprimé son désarroi le matin même dans les colonnes du JDD (1), pouvait sortir sous les applaudissements du Parc, largement mérités, remplacé par Rodriguez (87e).

Confirmer à Monaco ?

Ce c-s-c signé Bolf, juste avant la pause, assommait alors une formation bourguignonne, loin d'être mauvaise, mais comme souvent lors de ses déplacements dans la Capitale, l'AJA subit. A croire que son jeu convient parfaitement au PSG surtout quand celui-ci se trouve dos au mur, Pauleta et les siens n'avaient plus goûté à la victoire en Ligue 1 depuis le 15 janvier, soit huit matches sans la satisfaction de prendre les trois points. Paris, qui n'avait plus inscrit quatre buts dans un match de championnat depuis la 1ere journée (4-1 devant Metz), bouclera l'affaire en début de seconde période en marquant coup sur coup par Pauleta (55e), qui fêtait au passage son 200e match en L1, et l'intenable Kalou (57e, 2-0).

Un premier quart d'heure rendu un peu plus spectaculaire avec la réduction du score de Lionel Mathis (4-1, 59e). Dix minutes plus tard, Jérôme Alonzo, dans un style plus classique, c'est à dire très loin de celui du « volleyeur-handballeur » qu'il affectionne parfois, s'interposait avec grande autorité sur une reprise d'Akalé parfaitement servi par Mathis (69e). En empêchant l'AJA de marquer son deuxième but, le portier parisien évitait peut-être à son équipe vingt dernières minutes de doute. Mais c'était le soir de Paris, incontestablement.

Les optimistes n'hésiteront pas à s'enflammer et parler à nouveau du « Paris champagne » ou « Paris est redevenu magique » mais Guy Lacombe connaît trop la musique pour ne pas s'emballer. Les plus pessimistes pesteront de leur côté en se demandant pourquoi leur équipe n'a pas joué comme ça plus tôt, ou du moins plus régulièrement dans la saison. Et ils n'auront pas tort.

On peut aussi croire Jérôme Rothen déclarant que lui et ses camarades passeraient "une bonne semaine". Et pourquoi pas plusieurs alors que Paris, à sept matches de la fin, ne pointent plus qu'à six points de Lille, troisième ? Ce franc succès lui permettra au moins d'aborder ses futures joutes, à commencer par un déplacement à Monaco, avec un moral gonflé à bloc. Et ç'est déjà un gros changement...

Kalou, un des héros du Parc, dans les bras de Cissé.

Le PSG revit

Kalou, auteur d’un doublé face à ses anciens coéquipiers.

Le PSG recevait l'AJ Auxerre ce dimanche au Parc des Princes pour clôturer cette 31e journée de Ligue 1. Les Parisiens ont régalé leur public en dominant largement leur sujet et les Auxerrois 4 buts à 1. Un doublé de Kalou (26e et 57e), un but de Bolf (38e csc) et de l’inévitable Pauleta (55e), qui fêtait son 200e match en Ligue 1 avec son 114e but, offrent les trois points aux Parisiens. C’est Mathis, à l’heure de jeu, qui sauva l’honneur des Bourguignons. Avec cette victoire, le club de la capitale totalise 46 points et occupe la 8e place mais ne compte désormais plus que 4 points de retard sur Auxerre (4e). Lors de la prochaine journée, l’AJA recevra l’AS Saint-Etienne, tandis que le Paris Saint Germain se déplacera à Louis II pour y affronter l’AS Monaco.

quel match quel anbiance et un super homage pour le jeune boys decede.........merci paris et enfin l'anbiance auteuil boulogne sur les allée paris!!!que dire ce fu magikkkkkkkkkkk

yearrrrrr
c est coool
mais bon on sen fout :P

vous êtes sure que c'est paris qu'a joeur hier soir els gasr ????


trop coooooooooooool

Ne nous emballons pas trop vite, certes ce fut un tres bon match, mais n'exagerons rien. Le prochain match passé, on pourra peut-etre parler de renouveau. Moi je crois tout de meme en la 3eme place !!! Je crois qu'on felicite les joueurs, mais ce qu'ils ont fait hier, c'est uniquement ce que l'on attendait cette saison !!!

Allez Paris, gardez ce rythme et faites enfin rever vos supporters car il y en a marre !!!

LiL GreG a écrit:

yearrrrrr
c est coool
mais bon on sen fout :P

Et bien ne viens pas sur ce topic

Auxerre : J. Santini - "rien à dire"

"Le résultat de ce soir est logique. Il n'y a rien à dire. Je crois qu'il nous a manqué un état d'esprit. Quand on vient à Paris, il faut venir avec un esprit plus guerrier. On a défendu en ordre dispersé et contre ces oiseaux-là, cela ne pardonne pas." Jacques Santini, l'entraîneur d'Auxerre, a été sans équivoque au micro de l'AFP suite à la défaite de son équipe à Paris dimanche (4-1). La performance et surtout la mentalité de son équipe face à des Parisiens en reconquête ne pouvaient apporter meilleur résultat qu'une lourde défaite.

match terrible ambiance de feu que dire de plus

Match parfait perso, ambiance de fou, 4 "Paris est magique" REPRIS PAR BOULOGNE match magnifique, des buts et voila je suis comblé !

Merci Paris ...

sa faisait tellement longtent...

kevin17300 a écrit:

sa faisait tellement longtent...

Oui çà date

La crise attendra... Après huit matches sans victoire, le Paris SG a enfin renoué avec le succès dimanche, en conclusion de la 31e journée de L1, en atomisant (4-1) l'AJ Auxerre dans un Parc des Princes apaisé et réconcilié avec son équipe. Du jeu, des cadres enfin à leur niveau à l'image de Kalou, Dhorasoo ou Rothen et l'espoir du côté de la porte d'Auteuil de voir le club de la capitale, à nouveau à portée d'une qualification européenne, finir cette saison, quoiqu'il arrive gâchée, en trombe.

Huit mois. Huit mois que Paris n'avait plus régalé le Parc de Princes de la sorte. C'était il y a huit mois, le PSG ouvrait sa saison sur les chapeaux de roue en écrasant Metz (4-1). C'était le temps de tous les espoirs pour une équipe gonflée à bloc à l'entame d'une saison qui devait permettre au club de la capitale de revenir à la lutte au sommet de la Ligue 1. Des ambitions douchées par huit mois d'une nouvelle galère, marqués par la destitution incompréhensible d'un entraîneur apprécié de ses joueurs et des supporters, et qui, dimanche, en cas de nouveau faux-pas à domicile face à l'AJA, auraient sans doute précipité le PSG en pleine crise.

Au lieu de cela, quinze jours après l'humiliation subie face à la réserve de l'OM (0-0), les joueurs de Guy Lacombe ont offert le match le plus abouti de leur saison à un public qui, pour l'occasion, comme un signe, avait choisi de laisser de côté les luttes intestines pour soutenir son équipe à l'unisson. Une victoire (4-1) face à Auxerre et une impression inédite, celle de Parisiens dominateurs de leur sujet, capables de développer ce jeu à une touche de balle, comme sur l'ouverture du score de Kalou au terme d'un mouvement Mendy-Cissé-Pauleta, sur lequel Guy Lacombe travaillait depuis des semaines sans que ses troupes ne parviennent à retranscrire en match les exercices répétés à l'entraînement. Quatre buts, du spectacle et des cadres évoluant enfin à leur niveau à l'image d'un Kalou, auteur d'un doublé et meilleur homme du match, ou de Pauleta qui n'avait plus marqué en L1 depuis six matches.

Rothen, le sourire retrouvé...

Et que dire des performances des deux ex-bannis, Rothen et Dhorasoo, le premier omniprésent et décisif sur le but du break en délivrant le centre sur lequel l'Auxerrois Bolf trompait Cool de la tête, quand le second, auteur de son meilleur match sous le maillot du PSG, servait d'un caviar Kalou sur son second but. Que les deux internationaux, tout comme Pauleta, bénéficient d'une sortie en fin de match sous les vivas lors de leurs remplacements était tout sauf un hasard, Guy Lacombe prenant soin de profiter de l'occasion pour soigner la confiance de ces leaders retrouvés.

"C'est sûrement mon meilleur match depuis que je suis au PSG, commentait le coach parisien à l'issue de cette renaissance qui n'est jamais que sa troisième victoire à la tête de l'équipe parisienne. On a eu de la réussite mais le match a basculé pour nous parce que les onze ou les dix-sept joueurs du PSG l'ont voulu. On a fait de bons matches avant mais cette fois on a eu la réussite."

Une certaine satisfaction du devoir accompli, un sentiment plutôt rare cette saison du côté de la Porte d'Auteuil que confirmait l'homme du match, sans pitié pour ses anciens coéquipiers, Bonaventure Kalou, désormais à la tête d'un capital de sept buts depuis qu'il évolue à Paris: "Ce qui change c'est l'état d'esprit. C'est vrai que c'est mieux de jouer avec tous les techniciens de l'équipe. (...) Quand on joue ensemble, ça va mieux." Cela change tout et un Jérôme Rothen, peu épargné par les critiques ces derniers temps et qui, le matin même du match, dans les colonnes du JDD, mettait les choses au point en un langage fleuri: "Je ne suis pas une tête de con!", avait dimanche soir toutes les raisons de savourer l'instant: "On travaille depuis pas mal de semaines pour faire des gros matches. Nous avons retrouvé du mouvement, du jeu simple. On a eu des occasions, des centres. A l'arrivée, nous sommes récompensés. C'est bien. Maintenant, nous allons profiter et savourer car cela faisait longtemps que nous attendions cette victoire."

Lacombe: "J'attends le prochain match"

Pour autant, et alors que certains seraient déjà prêts à dresser des louanges à un groupe qui, durant huit mois, a failli dans la quête de son objectif, ce large succès ne saurait faire à lui seul oublier l'essentiel. Le PSG n'est jamais revenu qu'à quatre points des places européennes et reste à six d'une qualification en Ligue des Champions. Et entre satisfaction et regrets, la ligne restait ténue: "Cela fait du bien de gagner un match comme ça même si après on a l'impression d'un gros gâchis. On aurait pu faire ça plus tôt dans la saison", n'oubliait pas de noter Modeste MBami.

Un rappel des faits utile que Guy Lacombe prenait d'ailleurs à son compte au moment de rappeler que, s'il peut avoir l'espoir de finir en trombe sa saison, le club parisien aborde une série (Monaco, Bordeaux, Lens et Lyon) qui réclamera le même investissement jusqu'au soir de la 38e journée: "Il faudra rééditer ce genre de matches pour confirmer. C'est ça le problème. Si on confirme à Monaco, la fin de saison peut être intéressante. (...) Il faut qu'on fasse encore plus. J'attends le prochain match. Le match à Monaco nous dira où on en est vraiment." A Paris, il y a bien longtemps qu'une victoire, aussi large soit-elle, ne fait plus le printemps...

Des buts, du jeu et de la joie au Parc: le PSG était dimanche méconnaissable.

Ce serait-ce le printemps de Paris ?

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NeiBaF a écrit:

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