Extra-Sportif / Faits Divers

Raï au Camp des Loges



Le champion du monde brésilien, Raï, était de passage au Camp des Loges mardi matin lors de l'entraînement du PSG. L'ex capitaine du club de la capitale s'est entretenu avec son ancien coéquipier Paul Le Guen.

Raï était de passage au Camp des Loges mardi matin. Arrivé après le début de la séance d'entraînement du PSG, l'ex capitaine du club de la capitale, vêtu d'un bermuda et d'un petit tee-shirt blanc, a discuté avec son ancien coéquipier Paul Le Guen.

Loris proche de l'Atletico

Le jeune attaquant du Paris SG, Arnaud Loris (20 ans), n’a pas encore prouvé sa valeur dans le championnat français qu’il est déjà courtisé par de nombreux clubs français et même étrangers.

Ainsi, l’Atletico Madrid suivrait l’espoir parisien de près et serait même sur le point de lui faire signer un contrat, selon l’agent du joueur. De son côté, le PSG a démenti en assurant n’avoir eu aucune proposition du club espagnol.

Affaire Baros : Le Guen troublé

Paul Le Guen ne comprend pas bien la décision de la commission de discipline de la LFP de suspendre pour trois matchs Milan Baros, l'attaquant de Lyon. Pour l'entraîneur du PSG, si le geste envers le Rennais M'Bia n'est pas raciste, Baros n'aurait pas dû être suspendu.

Paul Le Guen (Entraîneur du PSG)
Si le geste n'est pas raciste, il ne faut pas le suspendre. Je ne comprends pas. On nous dit que le geste n'est pas raciste et il a quand même une suspension. Je n'arrive pas à comprendre mais ce n'est pas la première fois que je ne comprends pas les décisions de la commission de discipline de la LFP. Là on a l'impression qu'on veut pas fâcher et qu'on prend une solution intermédiaire. Je n'ai pas tous les éléments et je préférerais les avoir. Mais compte tenu de ce que j'ai lu, j'aurais préféré qu'il ne soit pas suspendu. Quand j'ai vu les images j'étais troublé, mais je n'ai pas entendu son argumentation. Encore une fois je ne connais pas bien, mais ça m'étonne.

A en croire "le Parisien" de ce dimanche, Alain Cayzac, qui a rencontré les actionnaires ces derniers jours pour préparer la saison prochaine, aurait cité le nom de Gérard Houllier pour venir l'aider, en cas de mise à l'écart d'Alain Roche. Une collaboration qui semble néanmoins assez improbable pour le moment.

Le rôle que souhaiterait donner Cayzac à l'actuel entraîneur lyonnais, serait proche de celui qu'occupe Bernard Lacombe à Lyon : conseiller du président Aulas avec la haute main sur le recrutement. Le président parisien, très ami avec Houllier, avait déja songé à lui en remplacement de Lacombe la saison prochaine, avant de finalement licencier ce dernier.

Le président parisien a néanmoins tenu samedi a démentir cette rumeur : "C'est inenvisagé et inenvisageable". De son côté, Le Guen, qui souhaite imposer sa propre politique sportive (à son arrivée, il s'était d'ailleurs présenté comme le "patron" du secteur sportif) ne verrait pas cette arrivée d'un bon oeil. Rappelons également que Houllier, bien que son avenir à Lyon soit des plus flous, gagne 250 000 € par mois, soit 3 millions d'euros brut par an...

pff nimporte quoi on en veut pas de lui caysac fait pas nimp

Bazin pas encore maître chez lui...

ETONNANTE altercation samedi au Parc des Princes juste après le nul contre Lyon (1-1).

De chaque côté du carré VIP, une rangée de barrières permet de filtrer les allées et venues. C'est à ce moment-là que Sébastien Bazin, actionnaire du PSG, président de la holding du club, intervient pour laisser passer une dizaine de personnes qu'il connaît.

L'homme posté devant les barrières, en costume-cravate, s'offusque : « Ils n'ont pas de laissez-passer, ils n'entrent pas ! » Réplique de Bazin, la voix blanche, la colère grandissante : « Ce soir, c'est moi qui décide de les faire entrer. » Le contrôleur : « Mais vous êtes qui, vous ? » Puis il agrippe le badge du patron de Colony Capital et lui lance, l'oeil noir : « Sébastien Bazin ? Je m'en souviendrai ! » Pour mémoire, Bazin, avec Walter Butler, est juste l'homme qui essaie de remettre le PSG à flot pour les cinq prochaines années. L'actionnaire est reparti très contrarié de son échange avec le zélé contrôleur...