[Entraineur] Antoine Kombouaré

Surtout bonne Gueulante...

Alexinho a écrit:

Bon coaching contre Boulogne.

C'est clair, Sankharé à gauche niquel. Et surtout l'entrée de Luyindula a fait un malheur à Boulogne. Ensuiste replacé Chantôme à droite, un choix payant tout comme l'entrée de Maurice qui marque un nouveau but contre Boulogne après celui de la qualification en coupe de la ligue.

Le coach du PSG revient sur les deux victoires face à Auxerre (1-0) et Boulogne (5-2) avant d’évoquer le déplacement à Bordeaux.

Coach, les résultats obtenus face à Auxerre (1-0) et Boulogne (5-2) enlèvent-ils un peu de pression à l’équipe ?
« Surtout pas ! On en a encore plus parce qu’on souhaite continuer notre série. Nous voulons poursuivre sur cette lancée. Il est important de confirmer. Il y a une remise en question permanente. Quand on perd, on doit trouver les solutions pour rectifier le tir. Quand on gagne, il faut maintenir la pression sur l’équipe. Nous ne devons surtout pas nous relâcher après ce que nous avons vécu. »
Vous devez être satisfait des points gagnés lors des deux dernières rencontres, mais êtes-vous satisfait de la manière ?
« Sur ces deux matches, j’ai particulièrement apprécié la victoire face à Auxerre. Elle a été acquise dans la difficulté, avec une équipe qui s’est battue sur chaque ballon. On était face à un très bel adversaire et il a fallu un grand PSG pour l’emporter. Je suis également très satisfait de notre victoire à Boulogne. Il y a des choses qui m’ont déplu, mais je préfère retenir la large victoire. »
Le match face à Bordeaux représente-t-il un gros test ?
« Tous les matches sont des tests. Auxerre était leader et c’en était donc un. Nous étions attendus après trois matches sans victoire à domicile. On va tout faire pour s’imposer à Bordeaux. Nous avons préparé ce match de la meilleure des façons en l’emportant à deux reprises. Il va falloir une belle équipe du PSG parce que nous affrontons le champion de France en titre et le leader de Ligue 1. Il n’y a pas meilleur challenge pour nous. »

Craigniez-vous la réussite de Bordeaux sur coups-de-pied arrêtés ?
« Quand vous jouez à Bordeaux, vous devez rester sur vos gardes. Avant que Valenciennes ne les fasse chuter (1-0), les Bordelais restaient sur plus de deux ans sans défaite à domicile. Cette saison, ils ont remporté six de leurs sept matches chez eux. Ils sont bons dans tous les domaines et particulièrement sur coups-de-pied arrêtés. On sait qu’il va falloir être très attentifs et très forts dans ce domaine. »
Que faudra-t-il faire pour l’emporter ?
« Il va falloir être complet et très fort défensivement. Ressortir des bons ballons et surtout chercher à jouer. Si vous leur laissez le ballon, c’est un rouleau compresseur. C’est une équipe qui conserve bien la balle et attaque dans l’axe, sur les côtés, sur coups-de-pied arrêtés… Il faudra être présent dans tous les domaines et avoir l’ambition de leur poser des problèmes. »

Et oui, les coups de pied arreté bordelais, dangereux !
En LDC, il on marqué plus de 3/4 de leurs buts sur des coup de pieds arreté !

_Dady™ a écrit:

Et oui, les coups de pied arreté bordelais, dangereux !
En LDC, il on marqué plus de 3/4 de leurs buts sur des coup de pieds arreté !

Pas que en ligue des champions Bordeaux c'est toujours la même chose.

Un jour vous verez Chamakh marqué sur un six metre^^

Antoine est un grand Monsieur, et souhaitons qu'il reste longtemps pour qu'il installe son style ! Laissons lui le temps.

Coach, le match face à Lens est-il oublié ?
« Tout d’abord, c’est bien de rejouer très vite car nous sommes sous le coup d’une grosse déception avec ce but encaissé en fin de match. On avait le sentiment d’avoir fait le plus dur. Enchaîner avec une autre rencontre nous permet de ne pas se poser de question. Nous avons suffisamment insisté sur les erreurs commises sur le but encaissé. Il faut maintenant passer à autre chose et vite se remobiliser. »

Les conditions d’entraînement sont-elles contraignantes ?
« C’est très embêtant parce qu’on ne peut pas jouer sur un terrain en herbe. Mais comme je l’ai dit aux joueurs, je ne veux pas d’excuse. J’ai horreur de ça. La préparation du match est difficile mais il faut se préparer pour jouer la rencontre et la gagner. On a envi d’aller à Rennes et d’y faire le meilleur match possible, sans penser aux conditions d’entraînement. »
La préparation du déplacement à Rennes est-elle tronquée ?
« Les conditions climatiques nous compliquent la tâche. Nous avons effectué un décrassage jeudi et avons été contraints de travailler en salle vendredi, en articulant la séance autour d’un échauffement sans ballon, d’un atelier de travail d’appuis, du basket et du foot. Dans ces conditions-là, les mises en place sont compliquées mais on est prêt pour le déplacement à Rennes. »

Que pensez-vous de cette équipe de Rennes ?
« Rennes possède de grosses individualités. Leroy, Briand et Gyan reviennent. A notre image, cette équipe est capable de bien jouer et d’apporter le danger à tout moment. Ils ont cependant un problème d’efficacité et ne méritaient pas de perdre à Monaco (défaite 1-0). »

L’entraîneur kanak avait tenté un coup, encore une fois, en alignant une équipe inédite, sans Makelele, Clément, Armand ou encore Ceara. Soit des habituels titulaires du secteur défensif. Et le PSG a coulé, quasiment sans combattre. Hormis dix minutes de bonne facture au début de la rencontre, le club de la capitale n’a pas fourni de jeu et les remplaçants N’Goyi, Chantôme, Sankharé ou Giuly ont raté une nouvelle occasion de se faire bien voir.

Kombouaré a donc poussé un nouveau coup de gueule à l’issue du match à l’encontre de ses joueurs, comme le raconte L’Equipe. « J’ai voulu tenter un coup. Mais vous n’avez joué qu’un quart d’heure. Vous ne méritiez rien. Il y en a qui n’ont pas su saisir leur chance. Vous me faites ch... », a-t-il éructé. Souvent, une franche explication provoque un électrochoc salvateur. Le problème, c’est que Kombouaré a déjà usé de ce ressort psychologique à de nombreuses reprises pour sonner la révolte. Les murs du Parc ont tremblé plusieurs fois au son de ses éclats de voix et même une poubelle a fait les frais de sa colère.

Une chose est certaine, Kombouaré tranche avec le taiseux Le Guen, pour qui le silence vaut mieux que de longs discours. En abusant de ses coups de gueule, l’entraîneur du PSG n’est-il pas en train d’en atténuer ses effets normalement salvateurs ? Le groupe parisien donnera sa réponse mercredi soir face à Grenoble.

Coach, la trêve approche… Quel bilan tirez-vous de cette première moitié d’exercice ?
« Il faut attendre le match contre Grenoble, avec un résultat qui sera, je l’espère, probant. Je pourrai ensuite faire un bilan. Pour le moment, j’attends mieux de mon équipe. »

Que faudra-t-il améliorer en 2010 ?
« Il faudra des résultats positifs. Les victoires, c’est ce qu’on espère tous. Pour cela, il faut travailler et il faut que les joueurs comprennent qu’il y a un certain niveau d’exigence qui doit être présent au quotidien, une culture que l’on doit avoir tous les jours. Toutes les équipes ont envie de nous battre, il faut donc répondre présent. Jouer le PSG, c’est motivant. Il faut qu’on soit prêt à ça. Tous les week-ends, c’est un combat qu’il faut livrer. »

Cela va encore être le cas face à Grenoble…
« C’est l’exemple type du match piège. L’adversaire va venir avec beaucoup d’ambition, de motivation. Si nous ne sommes pas prêts, ça peut être compliqué. J’attends une réaction des joueurs après le match à Rennes. Il faut une victoire pour partir en vacances la tête haute. »

L’investissement des joueurs est-il insuffisant ?
« Ils sont investis mais ne se rendent pas compte qu’ici, la tâche est plus dure qu’ailleurs. C’est important. Quand tu portes le maillot du PSG, tous les week-ends, c’est très compliqué. Tout le monde souhaite briller au Parc. Et à l’extérieur, je n’ai jamais vu un club autant détesté. Les supporters sont déterminés et motivent leur équipe. Cela donne des matches très tendus où on se doit d’être prêt. »

Le club va-t-il recruter au mercato ?
« Je vais voir le match de demain. Une victoire nous placerait dans une bonne position pour la seconde moitié de saison. Je verrai après ce qu’il est possible de faire avec les gens concernés. On a le potentiel pour être dans les six premiers. Il faut le démontrer. »

L'entraîneur du PSG, Antoine Kombouaré, a estimé mardi que la tâche était "plus dure" à Paris qu'ailleurs, assurant qu'il n'avait "jamais vu un club autant détesté" mais qu'il ambitionnait toujours d'inculquer "un niveau d'exigence supérieur" à ses joueurs.
Q: Quel est votre bilan à mi-saison?
R: "J'attends mieux de mon équipe. Quand on est joueur au PSG, il y a un niveau d'exigence supérieur et une culture de la gagne à avoir absolument. Ici, la tâche est plus dure qu'ailleurs. Il faut entendre les supporteurs adverses nous insulter à chaque déplacement pour s'en rendre compte. Je n'ai jamais vu un club autant détesté. J'ai joué ici et je n'ai pas le souvenir de ça. Nous, à l'époque, nous étions respectés, peut-être même aimés. Aujourd'hui, les gens pensent qu'on a le melon, le cigare, et on a des supporteurs qui donnent une mauvaise image en cassant tout quand ils arrivent en ville. Cette haine ou cette frustration des gens ressort au stade et c'est à nous de l'affronter. Le respect, on le gagnera sur le terrain, à travers nos performances, c'est tout. La priorité, c'est d'aller à la bagarre, de se faire respecter dans les duels. Sinon, si tu n'es pas prêt, tu vas te faire marcher dessus."
Q: Qu'esperez-vous après la défaite à Rennes?
R: "J'attends une réaction des joueurs après Rennes, surtout dans la capacité à se surpasser. L'envie est là, je n'en doute pas. Mais il faut le montrer sur le terrain en faisant preuve de plus de rage, ou de haine même parfois. En ayant un comportement plus professionnel tout simplement."
Q: Grenoble est un adversaire facile sur le papier...
R: "Grenoble, c'est l'exemple même du match piège. On se souvient tous du match de l'an dernier (victoire de Grenoble 1-0 en toute fin de match sur son seul tir cadré). On a le plus grand respect pour cette équipe grenobloise, qui ne renonce jamais. On ne doit pas la sous-estimer car, en plus de la motivation, elle a beaucoup de qualité avec des joueurs comme Battles, Ljuboja, Matsui ou d'autres. Mais on doit l'emporter pour partir en vacances la tête haute et nous replacer en bonne position pour la deuxième partie de saison. Pour le titre de champion de France, il ne faut pas rêver mais on a le potentiel pour finir dans les six premiers.

" et on a des supporteurs qui donnent une mauvaise image en cassant tout quand ils arrivent en ville."

Cimer AK!!

Pas un jour ne passe sans qu’Antoine Kombouaré y aille de sa petite déclaration-choc. Après s’en être notamment pris à son homologue du FC Lorient et à ses propres joueurs, le technicien du Paris SG cible aujourd’hui les publics de France et de Navarre, qu’il juge trop durs avec sa formation. « Quand on joue à Paris, toutes les équipes ont envie de nous taper. Ici, c’est plus dur qu’ailleurs. Je n’ai jamais vu un club aussi détesté (...) Il faut entendre les insultes, quand on joue à l’extérieur. Les autres pensent qu’on a le melon, le cigare », a-t-il déclaré en conférence de presse.

Malgré tout, le Kanak semble tenir une explication à la mauvaise image du club de la capitale dans le reste de l’Hexagone. Il vise clairement le comportement parfois limite de certains supporters de son propre club. « Quand on entend que les trains de supporters n’arrivent pas en bon état ou qu’ils cassent tout en arrivant en ville, la haine des gens se porte sur l’équipe », a-t-il expliqué. Après avoir décelé les causes de ses maux, l’entraîneur parviendra peut-être à inverser la tendance. Une seule chose est sûre : cela passera aussi et surtout par des performances sportives à la hauteur du standing du club, et ce, dès ce soir face à Grenoble (19e journée de L1).

Coach, comment abordez-vous la rencontre de dimanche avec les conditions météo actuelles ?
« J’ai suffisamment insisté sur le fait que jouer en cette période d’hiver est compliqué, d’autant plus à une heure aussi tardive (20h45). Maintenant, on fait comme les gens le décident. Le PSG a tout fait pour que le match ait lieu. On sera prêt demain pour aller chercher la qualification face à Aubervilliers. J’espère seulement qu’il n’y aura pas de pépins physiques. »

La notion de derby francilien pourrait transcender cette équipe d’Aubervilliers…
« C’est le match piège par excellence, on le sait. C’est un match chiant à jouer parce que cette équipe de CFA2 va forcément élever son niveau de jeu face au PSG. Le risque de notre côté serait de ne pas les prendre au sérieux, de craindre les blessures et de ne pas jouer les coups à fond. Comme je le dis toujours, il faudra respecter l’adversaire et il faudra surtout un bon PSG pour se qualifier. »
Pensez-vous que le PSG en fait suffisamment pour les jeunes Franciliens ?
« On fait beaucoup, mais les places sont limitées. On ne peut pas accueillir tout le monde, donc on essaye de prendre les meilleurs. Si vous regardez notre effectif aujourd’hui, il y a pas mal de jeunes de la région : Ngoyi, Sankharé, Sakho, Maurice, Arnaud… Posez la question à Lyon ou Marseille, il n’y en a pas beaucoup qui jouent. Pour ceux qui nous tapent dessus, regardez : nous avons beaucoup de jeunes au centre de formation et qui accèdent aujourd’hui à l’équipe première. C’est bien. »

Quelle est votre ambition en Coupe de France ?
« En ce qui me concerne, je souhaite aller le plus loin possible. On a un passé qui parle pour nous. Le PSG est une équipe de coupe et en a déjà gagné quelques unes. Je ne peux pas me permettre de choisir les compétitions. La victoire amène la victoire. Une qualification demain serait la meilleure manière de préparer le match de Coupe de la Ligue face à Guingamp et ainsi de suite. »

Comment vivez-vous le drame qui a touché l’équipe de Togo alors qu’elle se rendait à la Coupe d’Afrique des Nation en Angola ?
« C’est dramatique ce qui est arrivé à cette équipe du Togo. Aller jouer un match de football et se faire mitrailler, c’est… Il n’y a pas de mots ! J’ai eu Thomas Dossevi (attaquant togolais) pendant 3 ans à Valenciennes, alors forcément ça marque. Je pense que les joueurs togolais n’ont plus envie de jouer. Si la CAN doit quand même avoir lieu, ce ne sera plus la grande compétition que j’apprécie avec ses grands joueurs et ses grandes équipes. »

sava ils ont pas eu tros de mal a allé la cherché la qualif et heureusement

Coach, quel sentiment domine après la défaite à Guingamp ?
« La déception. L’élimination est sévère car il y a eu de bonnes choses au niveau du jeu. Nous nous sommes créés beaucoup de situations. Nous n’avons pas marqué et avons fait un cadeau sur le but guingampais. Maintenant, il faut aller de l’avant. J’attends de voir la réaction de mes joueurs. Il faut relever la tête. Le premier match de championnat en 2010 arrive et j’espère qu’on va bien débuter. Il faudra un grand PSG parce qu’on va jouer la meilleure équipe de Ligue 1 du moment. »

Regrettez-vous les choix effectués ?
« Je ne regrette jamais mes choix. C’est mon métier. Les joueurs doivent répondre présents sur le terrain. Aucun joueur ne peut participer à tous les matches. J’essaye de mettre sur le terrain la meilleure équipe avec le meilleur équilibre possible. Ça n’a pas marché à Guingamp mais ce qui est important, c’est de repartir de l’avant. Cela passe par un gros match samedi. C’est ce que j’attends de mes joueurs. »

Sentez-vous Mamadou Sakho affecté après son but contre son camp ?
« Toute l’équipe est affectée après cette élimination. Mamadou plus que les autres parce qu’il se sent fautif sur le but. Une carrière est jalonnée de défaites et, pour certains, de défaites qui marquent. Cela fait partie de son apprentissage. La force des grands joueurs, c’est de relever la tête. On est là pour l’accompagner. Ce qui est important, c’est d’avoir la capacité à reprendre le dessus. Pour lui comme pour les autres. »
Restez-vous optimiste ?
« Heureusement que je suis optimiste ! Je le suis parce que je sais que nous avons les moyens de poser des problèmes aux Lillois. Ils seront revanchards après leur défaite au Parc (3-0) et seront favoris parce qu’il sont devant nous. On a envie d’aller les chercher. Leur série est impressionnante. L’équipe écrase tout sur son passage. Elle a remporté ses six derniers matches de championnat avec vingt-trois buts marqués et trois encaissés. C’est un parcours de rêve. Il faudra prendre ce match comme étant le plus important de la saison. Ne pas s’occuper de ce qu’il va se passer après et rester focalisé sur Lille. »

Comment la reprise de Guillaume Hoarau se déroule-t-elle ?
« J’ai fait le point avec lui. Il y a le dernier entraînement (vendredi après-midi) pour voir où il en est. On avisera après. Il n'a pas joué depuis trois mois. C’est un souci. J’aurais bien aimé le faire jouer en CFA, mais il n’y a pas de match ce week-end. »

Coach, la presse a beaucoup parlé de vos propos tenus à la radio ce jeudi…
« Si j’ai dit cela, c’est parce que j’ai encore beaucoup d’espoir. Pour rappeler aux joueurs qu’on est au PSG, qu’il y a de la qualité et qu’on ne peut se satisfaire du classement actuel. Il faut rebondir, réagir tout de suite. »

L’équipe manque-t-elle de leaders ?
« J’ai dit ça parce qu’on est quatorzième et qu’on perd beaucoup de matches en ce moment. Après, si je me réfère aux deux dernières rencontres, il y a des choses très intéressantes. Je ne vise pas la première place. Après, avec les qualités qu’il y a dans ce groupe, on doit être capable d’aller chercher au moins la sixième place. Il reste seize matches. Il faut battre Lorient demain pour gravir les marches. »
Lorient est-elle l’équipe idéale pour se relancer ?
« Lorient est un peu la bête noire du PSG (Lorient s’est imposé trois fois en cinq matches au Parc des Princes) donc ça va être un match compliqué. Lors du match aller (1-1), nous avions réalisé une première période très décevante. On avait été bien meilleur en seconde période. On aurait pu ramener mieux qu’un nul. Lorient est une équipe très difficile à jouer, pratiquant un beau football. Il faudra une belle équipe du PSG samedi. »

On loue la qualité du jeu déployé par Lorient…
« Je n’ai pas à me plaindre de la qualité de jeu de mon équipe. Il faut qu’on soit plus efficace offensivement et défensivement. Lorient est une équipe qui pratique toujours un très bon football. J’ai vu leur match à Nancy (défaite 1-0). Ils auraient pu revenir avec au moins un point. »

Que pensez-vous du retour de Guillaume Hoarau et de son association avec Mevlut Erding ?
« Guillaume est en train de monter en puissance. Il apporte ses qualités. Sur ce que j’ai vu à Lyon pendant une heure, l’association est super intéressante. On s’est procuré beaucoup d’occasions. Nous n’avons pas été efficaces et Vercoutre a fait des arrêts. Mais c’est intéressant. Maintenant, il faut qu’on soit plus performant offensivement. »

Coach, comment avez-vous dormi ces deux dernières nuits ?
« Pas très bien. Mais même quand on gagne on ne dort pas forcément bien parce qu’il y a toujours du boulot. Mais ce n’est pas important. Nous ne sommes pas en confiance. C’est une période difficile. Les matches s’enchaînent. Cela constitue un avantage. Nous n’avons pas le temps de gamberger. C’est une bonne chose. Il est important de vite renouer avec la victoire pour retrouver la confiance et apaiser les esprits. »

Le PSG doit se relancer face à Vesoul…
« Vesoul sait qu’on est en difficulté. C’est compliqué de jouer contre un adversaire qui va être très motivé à l’idée d’affronter le PSG. En face, il y aura des morts de faim. C’est une rencontre très importante pour repartir de l’avant. Au niveau du jeu, nous réalisons de bons matches. Après, c’est vrai que les résultats ne sont pas au rendez-vous. »
Le terrain de Vesoul est un synthétique. Cela modifie-t-il les choses ?
« Ca change notamment au niveau des appuis, des rebonds. Les Vésuliens sont chez eux, sur une surface qui leur convient. Il faudra garder le ballon au sol et être attentif parce que ça va beaucoup plus vite sur cette surface. »

Les joueurs ont-ils confiance en vous ?
« C’est à eux qu’il faut poser la question. Je ne me là suis jamais posée parce que je vois ce qu’il se passe sur le terrain. Je vois le travail réalisé à l’entraînement tous les jours. Ce qui m’intéresse le plus, c’est qu’on renoue avec le succès. »

Coach, avez-vous effectué des changements dans la préparation de cette rencontre face à Nancy ?
« On verra samedi. De toute façon, il y a des choses à faire évoluer de façon à ce que nous retrouvions la victoire. En championnat, il y a certaines choses qui sont bonnes, mais nous devons surtout retrouver notre efficacité et gagner. Si je m’appuie sur le match de Lyon, notre dernier déplacement, il y a eu de bonnes choses, mais cette rencontre s’est soldée par une défaite. Il faut donc insister sur ces points positifs et surtout ne pas prendre de but, car c’est ce qu’il nous a fait défaut.»

Depuis le début de la saison, vous faites attention à la manière ainsi qu’au contenu des matches, vu la situation, allez-vous laisser cela de côté ?
« Je continue de penser que pour gagner des matches il faut bien jouer mais je serai très content si nous réalisons un mauvais match mais que nous gagnions. Je serai même ravi. »
En conférence de presse jeudi, Ludovic Giuly avait un discours ambitieux. Pour lui la saison est loin d’être terminée…
« C’est bien, je suis content de l’entendre dire. Je suis toujours dans cet état d’esprit. Quand on n’est pas bien classé, on s’exprime moins, mais on essaye surtout de passer aux actes et d’arrêter l’hémorragie, cela a été le cas contre Vesoul ou nous nous sommes qualifiés pour les quarts de finale de Coupe de France. Maintenant, il faut repartir de l’avant en championnat. »

Comment redonner confiance aux joueurs dans cette situation « difficile » ?
« Il faut gagner. C’est ce que nous avons réalisé mardi face à Vesoul. C’était très important. Ensuite, il y a les discours, le travail à l’entraînement et il faut également changer certaines petites choses. Le plus important reste cependant de répondre présent pendant les matches et il faudra le faire dès samedi. »

Que pensez-vous de la formation nancéienne ?
« C’est une équipe qui a pris 4 points sur 6 possibles sur ses deux derniers matches. Lors de leur dernier match à domicile, ils ont difficilement battu Lorient 1-0, mais ils ont gagné quand même. Le week-end dernier, ils sont allés faire match nul à Sochaux. Ils doivent gagner le match, ils mènent 1-0 et ont plusieurs situations pour l’emporter mais Sochaux est revenu en toute fin de rencontre. C’est un adversaire qui a retrouvé des couleurs, nous devrons donc faire un grand match samedi. »

Antoine Kombouaré (Entraîneur du PSG) :
C’est une grosse satisfaction parce que, pour la deuxième rencontre consécutive, nous n’encaissons pas de but. Nous ramenons un point de Nancy, ça casse la spirale négative dans laquelle on se trouvait. Il y a cependant une petite pointe de regret parce qu’il y avait la place de prendre les trois points. Nous nous sommes créés pas mal de situations que nous n’avons pas su exploiter.

Source : PSG.fr

1pts pris une grosse satisfactions ^^

c'est une grosse satisfaction , et pour la deuxieme fois consecutive nous n'encaissons pas de but ! a croire que c'est exeptionnel , non mais c'est du foutage de geul la quand meme ont n'est paris pas grenoble !!