Fournier a eu honte

L'entraîneur du Paris-Saint-Germain a déclaré, samedi après la défaite de ses joueurs à Metz (3-2) : «La première période, je ne veux même pas en parler, c'était une honte. Lorsque les joueurs comprendront qu'il faut entamer une rencontre comme ils l'ont fait en seconde mi-temps, ils auront enfin trouvé une certaine stabilité. Par contre, j'ai apprécié la deuxième période. Non seulement nous avons marqué mais nous nous sommes créé des occasions. Toutefois, j'aurais aimé voir encore plus d'envie».

Le FC Metz, obligé d'assurer son maintien, s'est posé moins de questions. «Nous savions avant le match que ce serait difficile et étant donné les autres résultats de la soirée, c'est encore plus délicat, a déclaré Jean Fernandez. Nous avons réalisé ce qu'il fallait ce soir et je préfère être à ma place qu'à celle de Nantes, Ajaccio ou Caen. Maintenant, nous devrons faire un résultat à Nantes lors de la dernière journée pour avoir notre avenir entre les mains sans dépendre des performances des autres équipes».