[1] Grégory Coupet

Et d'être en Loges VIP

Et Dieu sait a quelle point c'est chic, classe (contraiment au Vélodrôme^^).

Ouais Greg est vraiment un bon gars, c'est ce genre de gars qui faudrait trouver en majorité sur terre ^^ Toujours la pêche, le grand sourrire, a raconter des conneries, à déconner, une belle façon de voir la vie, tout comme Giuly j'aime bien ces 2 gars là

C'est cool ce petit lien que tu as avec Greg indirectement .FCB

Dans un entretien au bihebdomadaire France Football, le nouveau portier parisien ne cache pas ses ambitions et croit dur comme fer aux chances du PSG de décrocher la timbale en fin de saison.
Après une saison quasi-blanche à l’Atletico Madrid, Grégory Coupet meurt d’envie de retrouver le terrain, et c’est belle et bien pour cette raison qu’Antoine Kombouaré a souhaité tenter ce pari.
S’il ne souhaite pas se positionner en donneurs de leçons (« Je sors d’une saison à l’Atletico Madrid où j’ai très peu joué, alors j’arrive sur la pointe des pieds »), l’ancien lyonnais clame haut et fort que Paris se doit de retrouver son rang le plus rapidement possible, et cela passe par des titres :
« Paris doit jouer la première place. J'ose me mouiller. Ça va peut-être faire parler, mais on a des joueurs de qualité et on ne dispute pas la Coupe d'Europe. Alors, c'est clair, on a tout pour foncer : un potentiel public énorme, un stade magnifique. Mais il faut être conscient de nos possibilités et y croire. »
Impressionnant ses coéquipiers par la charge de travail qu’il supporter, Grégory Coupet semble parfaitement s’intégrer au club de la capitale et compte bien faire profiter ses coéquipiers de sa rage de vaincre :
« Si on est consciencieux, parfaitement professionnel, déterminé, enthousiaste, optimiste et volontaire, il n’y a pas de raison de se rabaisser par rapport aux autres équipes. »
Revenant tour à tour sur son expérience espagnole, son arrivée à Paris, son intégration et son rôle au PSG, Grégory Coupet livre une interview sans langue de bois et riche en enseignements. L’équipe de PSGTeam reviendra dans les jours à venir sur les propos de l’ancien Lyonnais .

Ah j'adore ce mec Pas de langue de bois, il parle clairement avec son coeur et il a une rage de vaincre qui va bien sûr servir à toute l'équipe. Allez Paris !

Jean-Michel Aulas rappelle dans une interview publiée mardi dans le Dauphiné Libéré que Grégory Coupet, au moment de quitter Lyon, l'avait averti de l'importance pour lui d'aller dans un pays anglophone. Avant de finalement signer en Espagne.



Si Jean-Michel Aulas s'était fait au départ de Grégory Coupet, il ne s'attendait pas à ce que l'actuel gardien du PSG, après avoir expliqué à son président qu'il souhaitait jouer dans un pays anglophone, rejoigne un club... espagnol (Ndlr : L'Atletico Madrid). Encore un peu amer aujourd'hui, le président de l'OL l'a rappelé cette semaine dans une interview publiée dans le Dauphiné Libéré.

« Grégory Coupet a annoncé qu'il était venu pour être champion. C'est un peu éloigné de ce qu'il nous avait dit en quittant Lyon puisqu'il voulait apprendre l'anglais à ses enfants. Il s'est retrouvé en Espagne. Passons... »

Au détour d’une interview accordée à nos confrères du site leparisien.fr, Grégory Coupet explique les raisons qui l’ ont poussé à évoqué la conquête du graal qu’il s’est approprié à sept reprises lors de son passage chez les Gones. « Je n’ai pas parlé du titre à la légère, lance le portier parisien. Je sens mes collègues capables de réaliser une grande saison même s’il reste des paliers à franchir. C’est une façon d’ouvrir les yeux à tout le monde : pourquoi ne viserait-on pas le titre ? Je ne dis pas qu’on va le gagner, je dis qu’il faut avoir l’ambition de le gagner. Cela sonnerait faux si je disais que l’on vise une place dans les dix premiers », a déclaré Coupet.

La fin de l'entente cordiale avec Aulas

Ses rêves de titre avait semble-t-il chatoyer l’orgueil de son ancien président, Jean-Michel Aulas. Ce dernier ne semble pas avoir digéré la raison officieuse de son portier fétiche qui lui avait soumis « l’envie d’apprendre l’anglais à ses enfants ». Des propos qui laissent pourtant le remplaçant de Mickael Landreau de marbre : « C’est bien, il est attentif à mes déclarations. Et elles le titillent ! Parfait : qu’il sache que je suis le premier à vouloir le titiller ! ». Voilà qui a le mérite d’être clair.

Encore en phase de découverte du nouveau groupe qu’il a intégré, l’ancien gardien de l’Atletico stigmatise un point crucial à ses yeux et qui devrait permettre au PSG de valoriser davantage son potentiel. « Pour moi, le dégoût de la défaite n’est pas assez prononcé. Perdre ce match (contre les Glasgow Rangers, ndlr), ça doit nous révolter. Je sais que dans ma chambre, le soir, j’étais énervé. Mais on ne l’a pas vu sur le terrain, on aurait dû les presser comme des fous pendant les dix dernières minutes », analyse Grégory Coupet.

Une rage de vaincre en totale corrélation avec le discours de son entraîneur, Coupet tient d’ores et déjà le discours qui pourrait pousser le PSG à ne plus se satisfaire des places d’honneur.

PSGTeam

Il veut toujours plus, et est toujours confiant. Je suis sur qu'il peut faire une bonne saison.

moi j'espere bien qu'il fera une bonne saisons déja que je voulais pas de lui,donc finiles bonne parole c'est a lui de prouvé

Il a raison de dire qu'on vise le titre on a que le championnat a joué et quand tu débute une compet' tu veux la gagné !!

Pour l'instant je ne suis pas déçu de Coupet, je reste sur mes gardes mais il ne m'a pas fait mauvaise impression pour le moment.

Il a été mauvais contre montpellier mais plutot bon dans les matchs de préparation. Moi j'attend de voir mais j'étais pas mécontent de le voir arriver a paris.

A l’occasion d’une séance de question « J’aime / J’aime pas » réalisée avec PSGTV, le nouveau gardien de but du Paris Saint-Germain s’est attardé sur les supporters rouges et bleus.
Alors qu’il va fouler pour la première fois ce samedi la pelouse du Parc des Princes avec le maillot parisien, l’ancien Lyonnais a exprimé ses ambitions pour les matchs à domicile :
« Il faut que l’on fasse du Parc des Princes un lieux fabuleux cette année, aussi bien pour les joueurs que pour les supporters. La médiation, la surpression que certains essaie d’imposer doit devenir bénéfique et amener les supporters à nous pousser encore plus. »
La pression mise par certains médias et par les supporters suite à l’égalisation montpelliéraine dans les dernières secondes n’est visiblement pas un problème pour Grégory Coupet :
« J’aime l’attente des supporters. Elle est légitime. C’est logique qu’on nous dise que nous n’avons pas le droit de perdre le match contre Le Mans à domicile. Si on avait gagné à Montpellier, on n’aurait pas pu se permettre d’être plus relax pour autant. Quoi qu’il arrive, il faut gagner, et si on veut viser haut, il faut gagner tous les matchs à domicile, gagner à l’extérieur et se préparer à battre tout le monde. »
Ce discours a le mérite d’être clair : c’est aussi cela la culture de la gagne chère aux « papys » du PSG et à Antoine Kombouaré.



Le "j'aime/j'aime pas" en question :

Coupet : «Viser haut»

A 36 ans, Grégory Coupet dit ce vendredi dans un entretien accordé à L'Equipe jouer désormais «pour le plaisir et par orgueil». L'ancien gardien lyonnais, après une saison dans l'ombre à l'Atletico Madrid, a rallié un Paris SG auquel il espère faire partager son ambition.

«Ce qui est certain, c'est que je ne viens pas à Paris en préretraite, promet-il notamment. Même disputer des saisons compliquées, ça reste un plaisir. Se prendre la tête, vivre avec la pression, ça maintient en vie (...) Je ne clame pas du tout que le PSG sera champion. Mais ça doit être notre ambition. On est à Paris pour viser haut. A Lyon, si on n'y avait pas cru nous-mêmes, on n'y serait pas arrivé (...) Quand on voit notre centre d'entraînement, notre stade, notre public, pourquoi ne pas y croire ? Il faut absolument atteindre une Coupe d'Europe ». De quoi booster un vestiaire...

L'Equipe

C'est fous, c'est un vrai gagnant. Il en veut toujours plus. Offront lui un 8ème titre de champions de France.

J'espère que ses prestations sur le terrain seront à la hauteur de son ambition

Une semaine avant ses retrouvailles avec Lyon, Grégory Coupet a pris le temps de se confier. Le gardien du PSG évoque sans détour plusieurs thèmes : équipe de France, Hugo Lloris, Olympique Lyonnais, PSG et Raymond Domenech. Entretien.



Grégory Coupet, pensez-vous parfois à la retraite ?
Non. Je n'ai pas envie de prendre ma retraite. J'en n'ai pas peur mais je n'y pense pas du tout. Ça ne fait pas du tout partie de mes plans (rires).

Pensez-vous encore à l'équipe de France ?
Non. Pas du tout. Je suis passé à autre chose. Je suis le premier à dire qu'il y a des supers gardiens en place. Il n'y a pas besoin d'aller chercher un vieux.

Comment avez-vous réagi à l'expulsion d'Hugo Lloris face à la Serbie, mercredi ?
Je suis énervé pour lui. Je pense qu'il avait fait un super boulot à ce moment là. Il est parti comme une bombe, comme il le fallait. Si l'attaquant essaye de marquer, il se fait contrer parce qu'Hugo est là. Mais maintenant, la règle fait que les attaquants n'ont plus besoin de chercher à marquer, ils ont juste à enlever le ballon de la zone, de s'affaler comme une m… et ça marche. Après, c'est double sanction pour le gardien : penalty et rouge. C'est tout benef' pour les attaquants. Bientôt peut être que les entraîneurs – certains le font peut-être déjà – vont conseiller à leur attaquant de ne surtout pas à essayer de marquer et de juste tomber.

Que pensez-vous d'Hugo Lloris ?
J'adore. C'est un super gardien avec des aptitudes athlétiques énormes. Pourtant, ce n'est pas un gros gabarit au niveau du poids. Il a une taille superbe, il va très vite au sol, il avance beaucoup et va très vite dans les sorties aériennes. J'aime beaucoup.


Est-il le meilleur gardien français à vos yeux ?
Je ne sais pas. J'aime beaucoup Steve (Ndlr : Mandanda) et Cédric (Ndlr : Carrasso). Je ne peux pas faire un classement. C'est suivant les idées d'un sélectionneur. On a vraiment trois supers gardiens. Hugo, avec les conseils de Joël Bats, va devenir énorme.

Avez-vous éprouvé des sentiments particuliers en regardant ce match de haut niveau ?
Je n'ai pas cette nostalgie-là. Je connais la pression qui en découle. C'est chaud. J'ai beaucoup pensé à Hugo et à Steve qui a pris la suite derrière. La situation était loin d'être facile pour les deux. J'étais heureux de voir Steve détourner une lourde frappe sur la barre et heureux de voir l'équipe de France aussi conquérante.

Êtes-vous confiant pour l'équipe de France ?
On a tous tendance à croire qu'il s'est passé quelque chose mercredi. Sur ces deux matchs, ils ont trouvé des vertus. On a vu des joueurs se mettre minable. C'était beau à voir.

Estimez-vous que Raymond Domenech soit toujours l'homme de la situation ?
Ce n'est pas à moi à parler de ça. Tout le monde est sur son dos. Je pense qu'au-delà de l'aspect du personnage, il faut préserver l'équipe de France. Je pense plus à l'équipe de France qu'à Monsieur Domenech.

« Ça a toujours été difficile en équipe de France »

Vous ne vous êtes imposé que sur la fin comme titulaire en l'équipe de France. Eprouvez-vous des regrets ?
Ça a toujours été difficile et je ne parle pas que de M.Domenech. Ça a été difficile avec tous les sélectionneurs en raison de la configuration avec Fabien (Ndlr : Barthez). Ma grande fierté a été de faire une vraie concurrence avec un monstre comme Fabien. J'en ai ressorti beaucoup de bénéfices. Ça m'a toujours poussé à aller plus loin. Par rapport à toutes ces difficultés, j'ai réussi à avoir une trentaine de sélections, d'être en équipe de France pendant huit ans. C'est pas mal, non ?

Avez-vous coché la date de PSG-Lyon (6eme journée de L1, dimanche 20 septembre) ?
Je regarde davantage le retour à Gerland. Ici, j'espère qu'on va continuer sur notre lancée à domicile et essayer de faire du Parc une cité imprenable. Si on arrivait à gagner face à Lyon, qui pour moi sera une équipe très difficile à battre, ce serait encore une très belle soirée au Parc.

Appréhendez-vous ces retrouvailles ?
Pas du tout. Je garde des relations très amicales avec l'ensemble du club et avec pas mal de joueurs qui restent en place. On a vécu de très belles histoires à Lyon où j'ai fini sur un doublé. J'ai fini ma carrière à Lyon avec beaucoup d'amour. Ce ne sera que du plaisir de les retrouver.

Finalement, Lyon ne peut pas être champion sans Grégory Coupet…
Je crois que l'OL avec Hugo Lloris va encore écrire une belle page de l'histoire mais une fois que Coupet aura fini avec Paris (rires)… Parce que Paris va se défendre.

« J'aime le côté amateurisme »

Vous n'allez pas ressentir une pression particulière…
Ça reste du foot. Je les connais par cœur. Le plus important, c'est qu'à la fin il restera toujours les hommes et que j'aurai toujours grand plaisir à les voir et s'ils veulent venir boire une petite bière à la fin, ce sera avec grand plaisir… Où moi j'irai dans leur vestiaire. C'est juste du sport. C'est du haut niveau et du professionnalisme mais j'aime bien garder ce côté amateurisme.

Allez-vous donner des tuyaux sur les Lyonnais à Antoine Kombouaré ?
On aura l'occasion de discuter. Je vais donner des idées individuelles sur les joueurs mais je n'en dirai que du positif. La grosse consigne sera de se méfier.

Redoutez-vous Lisandro Lopez ?
C'est un phénomène. J'adore ce style-là mais tu le redoutes quand tu es gardien de but parce que tu sais qu'il est toujours là. L'attaquant que je redoutais le plus à l'époque, c'était Florian Maurice. Il n'était pas le plus impressionnant physiquement, comme Lisandro, mais il était tout le temps aux aguets. Il avait le feeling pour être présent au bon moment, au bon endroit. Il ne lâchait jamais le gardien. Et je crois que Lisandro est dans ce style-là. C'est un mec qui vous impose une pression supplémentaire quand vous êtes gardien.

Sympa l'interview, merci Parisiano

Citation :

Finalement, Lyon ne peut pas être champion sans Grégory Coupet…

J'avais déjà pensé à ça

J'aurais toujours son image de lui pendant la final de CDF 08, quand Kallstrom sauva un ballon sur sa ligne. Il lui a frapper la main comme si il avait sauver le monde

Le gardien de but Grégory Coupet nous fait part de sa volonté de s’imposer dimanche face à Lyon, son ancien club.

Grégory, dans quel état d’esprit es-tu avant de retrouver Lyon, ton ancien club ?
« Quand on a passé onze ans et demi dans un club et qu’on a vécu des moments importants ensemble, ça crée des liens très forts. Dimanche, je rencontre une famille que je connais bien et que je respecte, avec qui j’ai conservé de très bonnes relations. C’est donc un match particulier. Très sincèrement, ça ne sera que du bonheur, du plaisir. J’ai des nouvelles de tout le monde. Tout l’encadrement du club, joueurs, dirigeants… il n’y a que de très bons souvenirs. J’aurai beaucoup de plaisir à les revoir. »

Regrettes-tu d’avoir quitté Lyon ?
« Non. C’était un besoin. On m’a proposé de prolonger mon contrat, avec une reconversion. J’avais envie de vivre autre chose, de voir autre chose. C’était aussi une décision familiale. Je n’ai vraiment aucun regret. Ca s’est mal passé sportivement à l’Atletico Madrid mais humainement, j’ai vécu une année extraordinaire. Ca m’a aussi permis d’avoir toute la motivation que j’ai aujourd’hui. »

Es-tu inquiet après la défaite à Monaco (2-0) ?
« Pas du tout. Elle est décevante parce qu’on avait bien travaillé pendant quinze jours, dans une ambiance très positive. A Monaco, on a produit du jeu dans des conditions très difficiles. On s’est fait avoir sur un contre, mais ça prouve aussi la volonté de jouer du groupe. Il y avait de l’ambition, la volonté d’attaquer et de ne pas se contenter d’un match nul. On aurait pu fermer le jeu. Le coach nous pousse à aller constamment de l’avant. Ce n’est pas une défaite qui vous laisse perplexe. »

Le match face à Lyon revêt-il une autre importance après la défaite à Monaco ?
« Je ne pense pas. Je joue toujours les matches pour les gagner, notamment à domicile. On doit faire du Parc une cité imprenable. Que ce soit Lyon ou Lille, il faut s’imposer. Lyon n’est pas une équipe imbattable. On les respecte comme tout le monde, mais dimanche il y a trois points qu’on voudra gagner. C’est un match important, un match qu’il faut remporter. »


Les absences de Mevlut Erding et Stéphane Sessegnon vont-elles vous pénaliser ?
« Ils nous manqueront parce que ce sont des joueurs de grande qualité. Maintenant, il faut faire abstraction de ça. Une saison est faite de ces moments-là. C’est regrettable pour "Sess". En ce qui concerne "Mev", ça peut arriver de se blesser. A nous de palier ces absences et de s’appuyer sur notre travail et sur la bonne ambiance qui règne. Leurs remplaçants seront intégrés de la meilleure des manières et donneront le maximum. Il faut y croire et ne pas se prendre la tête. »

Que penses-tu de Hugo Lloris, ton successeur dans le but lyonnais ?
« C’est un joueur extraordinaire, très régulier. Il a encore été sobre et efficace contre la Fiorentina (Lyon s’est imposé 1-0). Il a une maturité que je n’avais pas à son âge. Il est plus fort que moi au même âge. Il a un mentor, Joël Bats, qui va l’emmener tout en haut. Ca va devenir un très grand gardien. »

Ben on espère que Coupet va donner une leçon à Lloris en lui montrant ce que c'est l'expérience ^^

J'ai une question sans réponse, j'espère que vous allez pouvoir m'aider. Coupet n'est plus en équipe de France mais pour quelle raison déjà ? Retraite internationale comme Makéléle ou il n'a plus été sélectionné parce qu'il ne jouait pas à Madrid ?

Domenech lui a dit qu'il privilégiait la paire Lloris/Mandanda pour le mondial 2010 et pour l'avenir.

En tout cas pour le moment il est exelent