[Ex-Président] Alain Cayzac

ahhh sa me soulage que rothen il reste!

lol c'est une bonne nouvel oué

il faut viré caysac aussi,quesque vous en dites

ba c'est vrai que il a lair aveugle caysac

kevinpsg55 a écrit:

ba c'est vrai que il a lair aveugle caysac

nan il est malin...il dois y avoir une magouille dans cette histoire!

c'est a dire ??

kevinpsg55 a écrit:

c'est a dire ??

écoute,aucun président ne laisserait un tel entraineur!

sa c'est sur lol

mais a chaque fois on fait le con car on leur fait un contrat que si il sont licencer il touche gros c'est sa qui est nimp

faudrait leur faire un contrat de un an renouvlable tous les ans

kevinpsg55 a écrit:

sa c'est sur lol

mais a chaque fois on fait le con car on leur fait un contrat que si il sont licencer il touche gros c'est sa qui est nimp

faudrait leur faire un contrat de un an renouvlable tous les ans

bah ouais mais bon

Dans une situation un peu floue au PSG, Jérôme Rothen a rencontré son président, Alain Cayzac, afin d'évoquer son avenir. Recruté à l'été 2004 pour 10,5 millions d'euros, l'ancien Monégasque n'a pas eu le rendement espéré en grande partie à cause de blessures récurrentes. Cayzac aurait notamment indiqué à Rothen qu'il comptait toujours sur lui et qu'il croyait encore le joueur capable de réussir à s'imposer au club. Il aurait également précisé à Rothen qu'il ne le braderait sous aucun prétexte. Formé à Caen, Rothen ne cultive pas les meilleures relations possibles avec son entraîneur, Guy Lacombe, au point d'avoir perdu sa place de titulaire au club.

Le président du Paris SG Alain Cayzac se dit satisfait de recevoir au Parc des Princes pour les 16es de finale de la Coupe de France, tout en mettant en garde ses joueurs. "L’équipe de Gueugnon ne nous laisse pas un très bon souvenir puisqu’elle nous avait battu en finale de la Coupe de la Ligue en 2000 (0-2). Nous nous sommes aperçus tout au long du week-end que sur un match il n’y avait pas tant d’écart entre un club de Ligue 1 et un club de National ou de CFA. C’est donc encore plus vrai pour un club de Ligue 2 comme Gueugnon qui sera certainement un adversaire redoutable, a déclaré Alain Cayzac sur le site officiel du club parisien. "C’est évidemment une bonne chose de jouer à domicile, dans notre jardin et devant nos supporters, a-t-il poursuivi. En ce moment, le Parc des Princes n’est malheureusement pas aussi rempli que nous le souhaiterions pour des raisons que nous connaissons tous. Nous avons vu contre Nîmes, dans un stade relativement peu rempli, que l’équipe s’adaptait bien. Nous espèrons tous rejouer au plus vite devant un stade de 40 000 spectateurs comme nous le faisions quasiment à tous les matches depuis plusieurs saisons."

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Football365

content que caysac bouge pendant 1 moi mdrrr

mdr il s'amuse toujours autant ces debile de la fff

En dépit de ses bonnes intentions affichées quand il a pris la présidence du PSG en avril dernier et de sa volonté de rompre avec les mauvaises habitudes du club trop friand de la valse des entraîneurs, Alain Cayzac a dû s'y résoudre. Après avoir soutenu Guy Lacombe contre vents et marées, l'ancien publicitaire a fini par le limoger pour le remplacer par Paul Le Guen, un ancien de la maison. Explications.

Alain Cayzac est seul maître à bord du vaisseau fantôme qu'est devenu le PSG et le revendique : "Je n'ai pas été sommé par les actionnaires du club de nommer un nouvel entraîneur. Si j'étais sommé de quoi que ce soit, je partirais immédiatement. Cette décision, c'est moi qui l'ai prise car j'ai jugé que c'était bénéfique pour l'avenir du club." Dont acte. Le président du PSG assume totalement ses responsabilités. Et s'il rend aujourd'hui hommage à Guy Lacombe qu'il vient de débarquer, Cayzac reconnaît que son projet avec l'Aveyronnais est un échec et que le "chantier" était un peu plus important qu'il ne l'imaginait.

"Je veux rendre un hommage sincère à Guy avec qui j'ai bien travaillé pendant une période relativement courte. Il y a la vérité des chiffres mais Guy reste un bon entraîneur et je me refuse à l'idée qui consiste à dire qu'il n'est pas fait pour un grand club", assène le président du PSG. "Quand je suis arrivé, j'ai pensé et je continue à la penser que Guy Lacombe était la meilleur solution pour le PSG. Je partais avec lui pour une longue période. Aujourd'hui, je suis déçu parce que je n'ai pas réussi à faire ce que j'avais souhaité. Il y a une différence entre les intentions et la réalité.", poursuit-il.

Cayzac croit à un projet à long terme

"J'ai essayé de ne pas tomber dans le panneau des habitudes. J'espérais que les choses s'arrangeraient mais la situation sportive n'est pas bonne. Je ne peux pas être satisfait du rang du PSG, qui n'est conforme ni à son statut ni à son budget", se justifie l'homme fort du club parisien tout en revenant sur la malchance dont aurait été victime Paris notamment en termes d'abitrage en début de saison, alors que le matin même il était sanctionné par le Conseil national d'éthique de la FFF pour ses propos tenus après Nantes-PSG...

Après avoir fait appel à Paul Le Guen "qui était disponible et qui a accepté de venir", Alain Cayzac entend remettre debout son projet "ambitieux et durable". Et si le président ne croit pas au concept de "choc psychologique", préférant "bâtir sur du long terme", il entend toutefois placer les joueurs devant leurs responsabilités. "J'attends un rachat", précise-t-il. Quant à Paul Le Guen, Alain Cayzac, au-delà de ses compétences, loue sa personnalité. "Je connais Paul et j'adhère aux valeurs qu'il défend. Il connaît Paris. Ne pas partir dans l'inconnu, c'est une bonne chose." Voilà le nouvel entraîneur prévenu...



Le Guen et Cayzac à leur arrivée au Camp des Loges.

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Maxifoot

Cayzac : "Construire". Alain Cayzac explique son choix d'appeler Paul Le Guen à la tête du PSG. L'entraîneur n'est pas simplement là pour sauver la fin de saison. Le président parisien, qui rend hommage à Guy Lacombe, veut mettre en place un "projet ambitieux et durable". Mais il attend aussi une réaction des joueurs.

ALAIN CAYZAC, Paul Le Guen remplace Guy Lacombe à la tête du PSG. Comment s'est prise cette décision ?
A.C. : Contrairement à ce que j'ai lu, je n'ai pas été sommé par mes actionnaires de changer d'entraîneur. S'ils me sommaient de faire quelque chose, je m'en irai dans la minute. C'est moi qui ai pris la décision parce que j'ai jugé que ce serait bénéfique pour l'avenir du club. Je voudrais aussi rendre un hommage sincère à Guy (Lacombe) avec qui j'ai bien travaillé, pendant une période relativement courte. Je voudrais rendre hommage à son professionnalisme et à toutes ses qualités d'entraîneur. Je pense qu'il y a des choses qui ont été dites sur lui qui sont sévères. Certes le bilan de notre équipe est forcement négatif. Il y a la vérité des chiffres et les chiffres ne mentent pas souvent. Mais c'est un très bon entraîneur et je lui souhaite de rebondir très vite. Je ne crois pas une minute aux jugements selon lesquels Guy Lacombe n'est pas fait pour les grands clubs. Que dirait-on de M. Capello qui a des problèmes avec certains joueurs dans un grand club ?

Alors pourquoi changer ?
A.C. : J'ai vraiment essayé de ne pas tomber dans le panneau des habitudes et de me séparer de l'entraîneur rapidement dès qu'il y avait des défaites. J'espérais que les choses s'arrangeraient. Il y a plusieurs raisons pour lesquelles la situation sportive du PSG n'est pas bonne. Il y a déjà le fait que l'on a très, très mal débuté la saison. Redémarrant encore mal la nouvelle année, ça m'a de nouveau fait peur, effectivement. Mais on peut aussi considérer que l'on n'a pas été très verni dans cette première partie de saison. Il y a quand même des décisions d'arbitrage que je n'ai pas très bien compris. Il y a des suspensions que j'ai trouvées beaucoup trop longues, comme celles de Pierre-Alain Frau. Quand on juge le bilan de quelqu'un, c'est bien aussi de parler des circonstances atténuantes.

Comment jugez-vous le bilan de Guy Lacombe ?
A.C. : Le premier bilan de la saison est évidement négatif. Quand vous parliez de crise en début de saison, je trouvais que ça venait un peu vite. Aujourd'hui, je ne peux pas être satisfait du rang du PSG qui n'est pas conforme à son budget. Mais ce n'est pas la responsabilité d'un seul homme. C'est la responsabilité d'un club. Il ne faut pas oublier les joueurs car l'entraîneur ne fait pas tout. On a des joueurs très brillants mais qui n'ont pas montré de sentiment de révolte et ont, à un moment ou un autre, perdu confiance. Quand on joue à Paris, il faut des qualités mentales très fortes. Je les mettrai aussi devant leurs responsabilités car j'attends un rachat de la part des joueurs. Ce que j'ai vu face à Valenciennes ne me satisfait pas du tout.

L'arrivée de Paul Le Guen suffira-t-elle à redresser la situation du PSG ?
A.C. : Oui ! Je ne crois pas au choc psychologique. En revanche, quand on est dans une spirale négative, ce qui est le cas du PSG, et quand on a un problème qu'on n'arrive pas à résoudre, il faut qu'une autre personne vienne le résoudre. L'arrivée de Paul, c'est pour changer de discours, changer de méthode mais pas pour changer à tout prix. C'est quelqu'un que je connais bien et je pense qu'il peut inverser la situation dans le cadre de l'effectif qui est celui d'aujourd'hui. Je suis persuadé que Paul Le Guen est la bonne solution pour le PSG. Il a notamment une caractéristique : il connaît Paris. Plus ça va, plus je me rends compte que c'est important. Vous allez me dire qu'il ne suffit pas de connaître et d'aimer Paris pour être un bon entraîneur mais je crois quand même que ne pas partir dans l'inconnu est une bonne chose.

Le choix de Paul Le Guen s'est-il imposé naturellement ?
A.C. : Ce n'est pas un choix par défaut. J'ai changé d'entraîneur parce que Paul Le Guen était libre et qu'il a accepté de venir travailler avec moi. Cette décision a été prise tardivement, après le match contre Valenciennes. Ça a été très vite. Mais ça n'est pas pour faire un effet d'annonce. C'est parce que les résultats ne sont pas bons et que Paul Le Guen me permettait de rebondir sur un projet ambitieux et durable. Je ne crois pas du tout à ces concepts de choc psychologique. Ce n'est pas du tout ce que je cherche avec Paul. Je veux construire sur le long terme.

Vous teniez déjà le même discours au sujet de Guy Lacombe...
A.C. : Quand je suis arrivé, j'ai pensé que la meilleure solution était Guy Lacombe qui était un entraîneur que je n'avais pas choisi mais que j'ai toujours apprécié. Je ne vais pas en dire du mal aujourd'hui. Donc je ne l'ai pas confirmé par défaut. Je partais avec lui pour une longue période. Il s'avère que le football est fait de telle façon que l'on est parfois déçu... et j'ai été déçu. Je n'ai pas réussi à faire ce que je souhaitais faire, c'est-à-dire bâtir sur le long terme avec Guy qui était mon projet. Ce que je n'ai pas réussi, je vais essayer de le réussir cette fois. Quand on prend Paul Le Guen, on ne le prend pas simplement pour sauver la saison.

Avez-vous songé à partir avec Guy Lacombe ?
A.C. : Non, non ! Malheureusement pour moi, je ne suis pas en milieu de carrière. Ma destinée n'est vraiment pas importante. Je m'en fous complètement. Je ne me sens pas du tout sur la sellette et, si j'y étais, ça ne me poserait aucun problème. Mon seul problème, c'est l'avenir du PSG. Si les gens qui possèdent ce club considéraient qu'il y a une meilleure solution que moi, ça ne poserait aucun problème. Mais ils ne pensent pas cela aujourd'hui. Je trouverais relativement irresponsable de dire rendre mon tablier et de faire mon jardin alors que le club est en mauvaise posture... surtout que je ne sais pas jardiner.

A titre personnel, vous sentez-vous menacé ?
A.C. : J'ai fait mon maximum. Je ne peux pas vous dire que c'est une réussite pour le moment. Mais je garde intacte mon énergie pour essayer de faire en sorte que le PSG retrouve sa dignité, son statut et du plaisir. J'ai besoin d'un peu de temps. Pour l'instant, je n'y suis pas arrivé. Je me suis rendu compte que le chantier était peut-être un peu plus important que ce je pensais.

sa aurait été bien qu'il s'en aille avec lacombe mdr

En concurrence avec Lyon pour arracher la signature de Jérémy Clément, Alain Cayzac, le président du PSG, n’a pas caché sa satisfaction d’avoir empoché la mise. "Je suis très heureux que Jéremy Clément ait fait le choix du Paris Saint-Germain et qu'il rejoigne le club jusqu'en juin 2011. C'est un jeune joueur plein de talents et d'ambition qui a déjà joué au plus haut niveau. De plus, Paul Le Guen et son staff le connaissent bien. Cette signature est un signe d'ambition du club et de son désir d'investir sur l'avenir ", a-t-il confié sur le site officiel du club.

A peine l'intéressant recrutement hivernal du PSG terminé, les dirigeants parisiens semblent déjà préparer la saison prochaine. Selon le quotidien Ouest-France, la cellule de recrutement du club de la capitale suivrait ainsi les performances du défenseur de Rennes Jacques Faty (22 ans, 11 titularisations en L1 cette saison). Le staff parisien, qui aurait même déjà approché le joueur quelques heures avant la clôture du mercato (en dépit du fait qu'il avait officiellement déclaré il y a deux semaines ne pas vouloir quitter le club breton dès cet hiver) devra toutefois se montrer extrêmement convaincant s'il veut s'attacher ses services. La Juve lorgne en effet depuis plusieurs semaines sur le frère de Ricardo Faty, qui pour sa part évolue déjà en Italie, à la Roma, et on peut penser que Didier Deschamps le relancera lors du prochain mercato. La saison d'ores et déjà ratée du PSG pourrait aussi peser dans la décision du prometteur stoppeur rennais, lequel ne voit évidemment pas d'un mauvais oeil l'intérêt que lui porte les Bianconeri...

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Maxifoot

Cayzac moi il me déplait pas