[Ex-Président] Alain Cayzac

oué tfason sa va arrivé sa

Cayzac répond à Dhorasoo

A la mi-temps de PSG-Nancy, Alain Cayzac, au micro de nos confrères de Foot +, est revenu sur les déclarations et les états d'âme de Vikash Dhorasoo dans les journaux et notamment dans l'Equipe. Le président du PSG a déclaré: Je n'ai pas du tout apprécié les interviews de Dhorasoo. Il s'auto-proclame star, ce qui est peut-être un manque de modestie. Il s'auto-exclut de l'équipe. Je lui ai demandé de ne plus faire de déclarations. Je n'ai rien d'autre à lui dire. Ce que je lui reproche le plus c'est de faire ça le jour du match. Ce n'est pas très sympa pour ses copains. J'ai discuté avec Pauleta qui m'a affirmé ne jamais avoir apporté son soutien à Vikash. A priori, le retour de Dhorasoo au sein de l'équipe première du PSG n'est pas pour demain...

PSG-Dhorasoo: Cayzac décidera "sans haine"

Invité de la Grande Edition sur l'Equipe TV, Alain Cayzac, le président du Paris Saint-Germain, est revenu sur la mise à pied de l'ancien international français, Vikash Dhorasoo. Le numéro un du club de la capitale a souligné que rien ne serait entériné avant "un délai d'un mois", ajoutant qu'il prendrait sa "décision sans haine". Alain Cayzac a conclu sur le sujet en certifiant que "ce n'est pas un mano a mano avec Dhorasoo. Moi, je défends le PSG, je prendrai une décision dans l'intérêt du club."

Cayzac garde le mystère

Le président du PSG n'a toujours pas tranché concernant le cas de Vikash Dhorasoo. Mis à pied par son club pour avoir mis en danger la vie du groupe, le milieu de terrain parisien va devoir prendre son mal en patience. C'est en tout cas ce qu'a déclaré Alain Cayzac mardi soir arguant qu'il préférait se donner le temps de la réflexion. Outre l'affaire Dhorasoo, l'homme fort du club de la capitale est revenu sur le mauvais début de saison des hommes de Guy Lacombe. Sans dramatiser pour autant la situation.

Le suspense n'est toujours pas levé. Ceux qui attendaient avec impatience l'intervention d'Alain Cayzac sur la chaîne L'Equipe TV mardi soir pour savoir si Vikash Dhorasoo allait oui ou non reporter un jour le maillot du PSG peuvent être déçus. Le président du club parisien n'a toujours pas tranché sur le cas de son meneur de jeu, actuellement mis à pied à titre conservatoire par son employeur. Ecarté pour avoir exprimé ses états d'âme devant les médias, et notamment critiquer son entraîneur Guy Lacombe coupable selon lui d'avoir invoqué une fausse blessure pour l'exclure du groupe avant PSG-Lorient en Coupe de la Ligue, l'ancien Milanais s'était entretenu avec son président lundi. Il devra encore attendre pour savoir si son avenir passe par la capitale.

"Aucune décision n'est prise", a confié Cayzac en préambule de son discours. On ne peut pas prendre une décision avant 48 heures. On a un délai d'un mois, je prendrai ma décision sans haine. Vikash a été mis à pied, ce n'est pas une sanction. Ce qui m'intéresse, ce n'est pas de punir pour montrer mes biceps, de faire un exemple (...) Ce n'est pas un mano a mano avec Dhorasoo. Moi, je défends le PSG, je prendrai une décision dans l'intérêt du club." Soucieux de défendre avant tout les intérêts de l'équipe, le président n'a toutefois donné aucun signe susceptible de deviner l'issue que prendra cette affaire.

"Dans une entreprise, il y a des règles"

"On a suivi un processus qui est celui normal d'une entreprise. Dans une entreprise, il y a des règles. Un joueur a des droits mais il a aussi des devoirs. Je souhaite que les règles de l'entreprise soient appliquées au football." Reste donc à savoir si la « faute » commise par Dhorasoo mérite aux yeux de Cayzac un licenciement définitif. La réponse, si elle peut intervenir à tout moment, pourrait tenir en haleine les supporters du PSG durant tout le mois d'octobre.

Indépendamment de l'affaire Dhorasoo, Cayzac est revenu hier sur le mauvais début de saison de son club. Quatorzième après huit journées de championnat, il est peu de dire que Paris ne se montre pour le moment pas à la hauteur des ambitions affichées en début de saison. Bien que conscient du problème, le président du Paris Saint-Germain ne dramatise pas la situation. "C'est un peu plus compliqué que je le pensais. Il y avait une grosse attente. Seuls 20% de la saison ont été disputés, il reste 80% de la saison pour être meilleur", confie-t-il. Une confiance sans faille qu'il porte aussi à son groupe. Interrogé sur un possible chamboulement d'effectif lors du prochain mercato, il s'est montré très clair sur le sujet: "Il n'y a pas de départ envisagé, donc pas d'arrivée envisagée." Le groupe actuel devrait donc rester le même toute la saison. A une exception près peut-être...

[Ex-Président] Alain Cayzac - Page 3 Cayzacleparisienog9

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Alain Cayzac est dans l'expectative.

DHORASOO a fait aucune faute grave juste de critiquer un autre employé du club et sa sa arrive dans toutes les entreprises

lacombe dit a dhorasoo qu il le prend pas a cause de mauvaises performances ok et LACOMBE regardont ces performances c est pitoyable alord lui aussi merite une sanction celle de faire couler l'entreprise

Les fautes graves de Dhorasoo sont « vol de documents » et « mépris de son supérieur sur la voie public ».

Fait du droit tu verras que c'est considéré comme « fautes graves ».

vol de documents ok

mépris de son supérieur sur la voie public lacombe en a fait autant et il a mentis sur dhorasoo en disant tu est bléssé tu joue pas alord qu il avait rien

Cayzac s’en remet à la justice

Même si Alain Cayzac, le président du PSG, n’a pas tenu à commenter officiellement sa décision de licencier Vikash Dhorasso, il nous en touche quand même quelques mots en exclusivité. "La procédure va suivre son cours. Vikash a décidé de se défendre, c’est son droit. Le reste doit être tenu secret. Vous savez, c’est une relation employeur/employé comme il y en a dans toutes les entreprises. Même si c’est une première dans l’histoire du Championnat de France, la suite doit se régler devant les tribunaux". Entre le licenciement de coach Vahid, l’enquête sur les transferts suspects et désormais cette nouvelle affaire Dhorasso, ça commence à faire beaucoup du côté de la capitale...

Cayzac optimiste

Alain Cayzac, le président du PSG, est revenu, en exclusivité, sur le début de saison du club de la capitale. "On a connu des débuts difficiles. On s’est pris un joli coup de massue lors de notre premier match face à Lorient. Ce résultat ne correspondait pas trop au climat euphorique qui régnait au club avec notamment l’arrivée de nouveaux actionnaires. On a eu un peu de mal à digérer par la suite", a-t-il souligné avant d’ajouter, "je ne suis pas inquiet. Avant de perdre à Saint-Étienne, on restait quand même sur cinq matchs sans défaites. L’équipe est en progrès et il reste encore presque 80% du championnat à jouer. Rien n’est donc perdu. L’important, c’est de ne pas terminer le championnat à cette 14ème place".

caysac pffffff no comment

Cayzac - Urano, la guerre des chefs

Le président du PSG Alain Cayzac a publié lundi un communiqué faisant suite aux déclarations très virulentes de son homologue sedanais Pascal Urano, à la suite du carton rouge de Pierre-Alain Frau (26 ans, 8 matches en L1 cette saison, 2 buts) sur Stéphane Noro (26 ans, 7 matches, 3 buts) lors du PSG-Sedan de samedi (victoire parisienne 4-2). A propos de la faute de l’attaquant parisien sur le milieu sedanais, le président Urano avait parlé "d’attentat et de massacre". Il avait aussi demandé à la commission de discipline que "le fautif ne joue plus tant que Stéphane Noro ne sera pas rétabli". Pour le patron du PSG, qualifier ainsi la faute de Frau est "intolérable". "Le geste de Pierre-Alain Frau est totalement involontaire. Il s’en est d’ailleurs excusé en privé et publiquement. Quant à faire pression sur la commission de discipline et demander des sanctions exemplaires, c’est totalement incompréhensible", a rajouté Alain Cayzac. Rappelons que ce carton rouge reçu par Pierre-Alain Frau est le premier de sa carrière.

no comment

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il est cinglée le president de sedan.

grave

Urano dérape, Cayzac réplique

A croire qu'une victoire du Paris-Saint-Germain ne peut pas se passer de sa dose de polémique. Ainsi, au lendemain du succès des Parisiens sur Sedan, samedi au Parc des Princes (4-2), Pascal Urano, le président ardennais, est monté au créneau dans la presse pour dénoncer l'"attentat" de Pierre-Alain Frau sur Stéphane Noro. Un geste malheureux de l'ancien Sochalien, qui a été exclu, a en effet gravement blessé le Sedanais. Alain Cayzac n'est pas resté muet et s'est fendu d'une réponse à son homologue...

Dur, dur d'être le président du PSG ! En accédant à ce poste à l'occasion de la cession du club par Canal +, Alain Cayzac avait souhaité amener le Paris-Saint-Germain vers plus de sérénité. Un voeu pieux ! Car depuis le début de saison, le dirigeant historique n'a pas vraiment eu le temps de souffler. Après un début de saison délicat sur le plan sportif, une crise de paranoïa à l'égard de l'arbitrage et la gestion du cas Dhorasoo dont l'épilogue aura été le licenciement du joueur, Alain Cayzac est à nouveau au coeur de la spirale médiatique. Pourtant, samedi, alors que les braises de l'affaire Dhorasoo étaient encore chaudes, Alain Cayzac a bien cru voir le bout du tunnel après une victoire enfin convaincante de son équipe au Parc des Princes. Las, un incident de jeu allait rapidement faire naître une nouvelle polémique.

Rappel des faits. Nous sommes à la 43e minute du match quand Pierre-Alain Frau tente maladroitement de récupérer un ballon au milieu de terrain. Emporté par son élan, l'attaquant, pied en avant, percute violemment Stéphane Noro au niveau du genou. Le Sedanais s'écroule et devra sortir sur une civière. Le geste, clairement involontaire, est vilain et est logiquement sanctionné d'un carton rouge par l'arbitre. Première exclusion de sa carrière pour Frau qui, désolé de sa bévue, présente aussitôt ses excuses au joueur sedanais. Mais le mal est fait et la gravité de la blessure de Noro (entorse du genou droit avec atteinte du ligament croisé et du ligament latéral) le tiendra éloigné des terrains pour au moins six mois. Autant dire que la saison de celui qui passait pour le meilleur Sedanais depuis le début de l'exercice est terminée...

Le dernier mot à la Commission de discipline

De quoi évidemment provoquer la colère des dirigeants ardennais. Pascal Urano, le président des Sangliers, n'avait ainsi pas attendu le diagnostic final et ses conséquences pour tirer à boulets rouges sur Frau. Dans Le Parisien de lundi, Urano, très excessif, fustigeait l'ancien Sochalien parlant carrément "d'un véritable attentat, l'une des actions les plus dangereuses depuis le début de cette saison." Alors que Sedan était déjà privé pour plusieurs mois, sur blessure, de Sartre et de Yahia et que Ouadah sera indisponible trois mois après une opération du nerf sciatique, Urano, furieux, poursuivait sur le même ton : "Que l'on arrête de massacrer nos joueurs" et en appelait directement à la Commission de discipline de la Ligue, priée de sanctionner sévèrement la faute de Frau. "On fera le maximum pour que le joueur parisien ne joue pas tant que Stéphane Noro n'est pas rétabli."

Une déclaration en forme de menace qui a bien évidemment fait sortir de ses gonds Alain Cayzac, lequel s'est aussitôt fendu d'une réponse lundi. Dans un communiqué officiel, le président du PSG reconnaît ainsi la réalité de la faute de son joueur "qui méritait d'être sanctionné" même si le geste est "indiscutablement involontaire", mais il s'insurge des termes employés par Pascal Urano et de la tentative de pression de ce dernier sur "une Commission de discipline par nature indépendante".

Alors qu'une autre querelle de présidents entre Pape Diouf pour Marseille et Jean-Michel Aulas à Lyon alimente par ailleurs la chronique, on serait tenté en l'espèce de donner raison, une fois n'est pas coutume, au PSG dont le président fait preuve d'un peu plus de mesure que son homologue sedanais. De la mesure et de l'objectivité, c'est justement ce dont la Commission de discipline de la LFP devra se prévaloir au moment d'analyser ce malheureux incident, loin des petites phrases des dirigeants. Car si Noro vit effectivement un cauchemar, Frau, dont le casier vierge plaide en sa faveur, a vécu probablement samedi un des pires moments de sa carrière. "Ce n'est pas un geste intentionnel de ma part. Je l'ai d'ailleurs dit de vive voix à Stéphane Noro au téléphone. Ce n'est pas dans ma philosophie de donner des coups sur un terrain. Tout cela me secoue un peu. Je comprends les paroles du Président Urano, il vient de perdre une pièce essentielle et défend son club. Maintenant de là à parler d'attentat ou de massacre... Encore une fois mon geste n'était pas volontaire. Je tiens à présenter mes excuses au joueur ainsi qu'au club de Sedan", a-t-il dit mardi au Camp des Loges.

[Ex-Président] Alain Cayzac - Page 3 Fraurougeparisienqh3

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Malgré les protestations de Pauleta, Frau avait logiquement écopé d'un carton rouge.

Cayzac ne s'affole pas

Il préside le PSG depuis quatre mois. L'occasion pour Alain Cayzac de dresser un premier bilan dans L'Equipe, alors que son club est 13e de L1, à 16 points de Lyon. Il explique le début de saison poussif par le revers initial contre Lorient (2-3), "notre petit France-Bulgarie à nous". Mais insiste sur son projet pour l'équipe pour lequel il se donne trois ans et se montre "confiant". "J'avoue que je pensais, en début de saison, que l'écart (avec Lyon) serait moins grand", reconnaît Cayzac. "Il y a un manque de confiance qui date de PSG-Lorient (2-3) lors de la première journée. Il n'y a pas un autre événement qui explique le début de saison difficile du PSG." Ce qui ne remet pas en cause le niveau de l'équipe, selon lui. "Je suis persuadé des bons progrès dans le jeu depuis trois ou quatre matches. J'ai toujours pensé que les conceptions techniques et tactiques de Guy Lacombe finiraient par porter leurs fruits." Il se fixe un objectif : "Paris retrouvera son statut rapidement, d'ici à trois ans. On aura une équipe formée de stars et de beaucoup de joueurs formés au club. (...) On a une jeune génération exceptionnelle".

A. Cayzac - "maudits"

Le président du Paris SG, Alain Cayzac, pensait enfin tenir le match référence de son équipe à l’extérieur, hier soir à Lyon en 8e de finale de la Coupe de la Ligue, mais Sylvain Wiltord est venu gâcher la fête parisienne en inscrivant un doublé à quelques minutes du coup de sifflet final (2-1). "C'est une grosse déception. On est passé près de la victoire, ce qui aurait été inespéré car il y avait soi-disant un fossé entre les deux équipes. Cela prouve que ce fossé n'était peut-être pas aussi profond que cela. On a dominé le match et on rate de près l'exploit, a-t-il regretté après la rencontre. On a été plus que solide. On a été brillant. Si je cherche des motifs d'espoir, et il y en a beaucoup, c'est qu'on a joué avec cinq joueurs de moins de 20 ans. Ils ont été exceptionnels. La déception de la défaite est d'autant plus grande, surtout en menant 1-0 à cinq minutes de la fin," a analysé Cayzac.

Cayzac choqué pour Frau

Le président du Paris SG, Alain Cayzac, a fait part de son mécontentement par communiqué à l’égard de la sanction infligée à Pierre-Alain Frau par la Commission de Discipline de la Ligue, réunie hier. "Le PSG se déclare très choqué par la sévérité extrême de cette décision injuste. Le club regrette vivement que la Commission de Discipline n'ai pas tenu compte du caractère non intentionnel du geste de Pierre-Alain Frau ainsi que du comportement exemplaire du joueur tout au long de sa carrière puisqu'il s'agissait là de son premier carton rouge," relaie le site officiel du club. "Le PSG considère que cette décision est complètement disproportionnée et sans commune mesure avec les autres décisions prises le jour même par la Commission de Discipline." Le club parisien va faire appel de la décision.

Titulaire Nombre de messages : 478 Age : 31 Date d'inscription : 06/09/2006

a ba on l'est tous, on l'est tous.

Cayzac prend du galon à la LFP

Souvent aux prises avec la Ligue de Football Profesionnel ces dernières semaines, le président du PSG (L1) Alain Cayzac vient d'intégrer la Commission Marketing de cette même Ligue, communique le site Internet du club de la capitale. Animée par les services médias et marketing de la LFP, la commission Marketing assure le suivi de nombreuses missions stratégiques. Parmi ses compétences figure l’élaboration du règlement audiovisuel relatif à l'attribution des droits mobiles de la L1. Cette commission est présidée par Jean-Claude Plessis, président du FC Sochaux (L1).

Alain Cayzac s'explique

La polémique retombée, le président du PSG est plus à l'aise pour évoquer le licenciement de Vikash Dhorasoo. Il a aussi des avis tranchés sur Higuain et... Obertan

[Ex-Président] Alain Cayzac - Page 3 QSPO1401

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Le Paris Saint-Germain est-il toujours intéressé par Gonzalo Higuain, malgré les prix qui flambent ?
Alain Cayzac. On a la particularité de le connaître depuis longtemps, bien avant son doublé contre Boca Juniors. Dès que je suis arrivé au club, on m'a parlé d'Higuain. Etant ancien dans le football, je me souvenais même de son père à Brest. Depuis, son fils a pris beaucoup de valeur en peu de temps. Même si c'est un peu moins abordable, on reste toujours intéressés. Il y a eu des contacts, mais pas de proposition. Ce n'est pas un poste où l'on a un besoin à court terme pressant, puisque nous avons quand même Pauleta, Frau et le jeune N'Gog, qui est très prometteur.

Est-ce par nécessité économique que vous commencez, comme les Girondins en 2004, à lancer des jeunes ?
(Sourire.) Je ne critique pas leur centre de formation, mais Obertan, il a été formé à Paris. J'espère qu'il ne va pas nous marquer un but. Gaby a fait toutes ses classes chez nous. On avait essayé de le retenir avec Vahid Halilhodzic. J'avais même rencontré son père et sa mère. Mais il a eu une proposition de Bordeaux et on n'a pas su le convaincre de rester. A l'époque, le PSG avait l'image d'un club qui ne donnait pas sa chance aux jeunes.

Etiez-vous sur Micoud à l'intersaison ?
Non. On y a pensé, on en a parlé avec Alain Roche, d'autant plus que Guy Lacombe le connaissait pour l'avoir eu à Cannes. Personnellement, c'est un profil de joueur que j'aime bien. Mais on n'a pas fait d'offre. On n'était pas sérieusement sur le coup.

Luis Fernandez avait souffert à son époque du manque de solidarité de son président, Laurent Perpère. Est-ce pour cette raison que vous affichez un soutien sans faille à Guy Lacombe ?
J'ai effectivement retenu ça de certains épisodes du passé. Mais je préfère les exemples positifs. L'osmose entre Michel Denisot et Artur Jorge était parfaite. La relation entraîneur-président, c'est la clé. Je ne dis pas que ça dure quinze ans. Mais si vous n'avez pas ça, c'est foutu.

En déchargeant Guy Lacombe de la gestion du cas Dhorasoo, n'avez-vous pas nui à sa crédibilité ?
Je ne pense ni à moi, ni à Lacombe, quand je prends une décision. Je pense au club. Cela m'est totalement égal que l'on pense que c'est bien ou non pour notre autorité, à Lacombe et à moi. Je m'en fous complètement. Dans une entreprise, on a un devoir de défense permanent de l'entreprise. On a le devoir de ne pas la critiquer publiquement. En interne, on a tous les droits. Mon bureau est ouvert. N'importe quel joueur peut venir me voir pour me dire qu'il n'est pas d'accord avec moi. Mais pas dans la presse.
Je n'ai aucun problème personnel avec Vikash Dhorasoo. C'est un joueur attachant. Mais cela ne se fait pas, dans aucun secteur d'activité. Je n'ai jamais vu un journaliste prendre la plume pour écrire dans son journal que son patron n'est pas bien. Si je vous dis tout ça, ce n'est pas pour être agressif vis-à-vis de Dhorasoo, qui a joué à Bordeaux en plus...

Où il n'y a pas eu de clash...
Il n'y a pas beaucoup de problèmes à Bordeaux en général...

Si Dhorasoo n'avait pas donné cette interview à « L'Equipe », serait-il encore au PSG aujourd'hui ?
Bien sûr. Après, jouerait-il ou pas ? Ce n'est pas moi qui forme l'équipe. Je ne donne pas de leçon de morale à Vikash Dhorasoo. C'est un adulte. Il est intelligent, en plus. Il sait ce qu'il fait. Il dit ce qu'il veut. On en a parlé ensemble d'ailleurs. Aucun jugement moral.

Mais un joueur de football, c'est complexe quand même. Pensez-vous réellement qu'on puisse gérer une équipe comme une entreprise ?
Je viens de la publicité. J'avais des grands créatifs. On ne gère pas un Jacques Séguéla, avec lequel j'étais associé, comme on gère un financier ou un administratif. C'est évident. Mais il y a un domaine dans lequel tout le monde part à égalité, c'est la défense de son entreprise. Quand j'ai Pauleta ou Yepes devant moi, bien sûr que je tiens compte du fait que ce sont des joueurs de talent, qu'ils ont plus de pression et que ce sont des êtres sensibles. Surtout que moi, j'ai la réputation d'aimer le foot et donc les joueurs. Ma tendance est plutôt d'être indulgent.

C'est peut-être ce qu'ils se sont dit en vous voyant arriver...
Peut-être. Je n'en sais rien. Mais si j'ai fait acte d'autorité, ce n'est pas pour le plaisir de montrer mes biceps. Ce n'est pas du tout mon style. Par contre, je suis un joueur collectif.

Si vous aviez été président du PSG à l'époque de Luis Fernandez, auriez-vous licencié Ronaldinho, dont les écarts supposés ont également été étalés sur la place publique ?
Pas du tout, car Ronaldinho n'a jamais dit un mot contre le club. Anelka, qui est un mec que j'adore, n'avait jamais fait non plus une chose pareille. Les joueurs ont toujours eu l'esprit club au PSG. Les conflits que Ronaldinho avait ou pas avec Fernandez étaient des conflits techniques ou de mode de vie. Cela ne m'aurait pas concerné en tant que président.

Comment expliquez-vous le calme relatif de vos supporters en dépit des mauvais résultats ?
Je crois que les supporters sont intelligents. Ils comprennent qu'il n'est pas interdit de voir un peu au-delà du match suivant. On a fait signer depuis que je suis là quatre joueurs de 18 ans qui sont le PSG de demain. Les gens ne sont pas prêts à attendre dix ans, je suis tout à fait conscient de cela, mais ils ont compris qu'on essayait de construire quelque chose de solide et qu'il fallait arrêter d'avoir des concepts un peu périmés sur les stars.

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Sud Ouest

Magnifique derniere phrase Smile

yesss!!

et voila c'est bien ce qui me fait peur il va garder l'autre pffff

NeiBaF a écrit:: Magnifique derniere phrase

Tout a fait d'accord Wink

Elle résume parfaitement ce que l'ensemble des supporters veulent ! Et pas une minorité ...

la minorité comme tu dit elle est devenue majorité je te signale juste au passage

» Le président Alain Cayzac a démissionné
» Alain Cayzac : « Vikash se sanctionne tout seul »
» Alain Cayzac : « Soyons ensemble jusqu’au bout »
» [Ancien] Pierre-Alain Frau
» président